Je voudrai tout d’abord m’excuer de mon abence de la blogophère ce troi dernière emaine. Une grippe un peu évère, et la néceité de ne pa “perdre le rythme” ur me activité de médiation et de coneil m’ont obligé à abandonner le blog pour quelque jour. Mai cette écriture-réflexion me manque trop pour que je la laie longtemp de côté.
C’et un thème qui revient an cee que de comprendre comment la médiation ’articuler par rapport à la crie qui la rend néceaire. J’entend ouvent oit que “cette foi-ci, le conflit et allé trop loin, il n’et plu quetion de médiation” mai également “nou combatton depui tellement longtemp qu’il erait peut-être temp de négocier”. La médiation erait-elle donc un proceu réervé aux dicuion amiable ou aux ca déepéré ?
Si nou cherchon à trouver une répone dan l’intenité du conflit, le deux meage emblent contradictoire. La médiation erait en effet bénéfique quand le conflit et “peu intene” (on ne négocie plu quand le conflit et fort) mai également quand le conflit et “particulièrement long” (et que l’on ’y enfonce). Modération ou laitude ? Je croi pour ma part que l’analye par l’axe de l’intenité n’et peut-être pa la plu appropriée.
Quelle ont le caractéritique de la médiation ?
- la reconnaiance de l’exitence d’un conflit: étonnamment, ce ne era pa toujour le “même” conflit qui era reconnu par le différente partie, mai le conflit ur la dénomination du conflit et en oit quelque choe de négociable;
- la volonté de e confronter à l’autre: en médiation, on ne confie pa la négociation à un tier: le coneil, l’avocat, l’expert peuvent aider et contribuer, mai ce ont le partie elle-même qui dicutent, en face l’une de l’autre; en ce en, la médiation et bien plu une confrontation que la procédure judiciaire dan laquelle le protagonite ont moin appelé à e parler directement;
- la poibilité, offerte par la grande confidentialité de échange, de e dire tout ce que l’on a à e dire, et de vider complètement le conflit, en ce compri le élément émotionnel ou collatéraux qui ont peu de chance d’être évoqué dan la procédure;
- c’et aui en médiation que chacun obtiendra la olution la plu proche de e beoin: ce n’et en effet pa un tier qui décidera de la olution, avec a perception de ce qui et important pour le un et le autre; ce ont le partie en conflit elle-même qui vont contruire une olution qui era conforme à leur propre perception de leur beoin.
En reliant ce différent élément, il me paraît tellement clair que la difficulté de la médiation ne réide pa tellement dan le fait qu’elle ne conviendrait qu’à de conflit déjà partiellement apaié ou trainant en longueur. Cette difficulté vient plu du courage qui et requi par le partie pour accepter de e regarder en face et de ’engager - au en militaire du terme - dan le débat. La médiation me fait plu pener au combat d’un art martial ou la victoire conite en la contruction de la équence de mouvement qui donne à chacun la plu haute atifaction, et ou le rôle de l’arbitre et de donner à chaque combattant la poibilité de porter e talent au plu haut, pour réuir la contruction commune de la olution.