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The Last Of Us : Premiers pas

Par Elodie Legale @elodielegale

J’ai ENFIN reçu le jeu que j’attendais tant  : The Last Of Us. Il a beaucoup fait parler de lui depuis sa sortie et hier soir j’ai pu y faire mes premiers pas. J’aurais terriblement aimé vous en faire une vidéo, mais j’ai besoin de matos spécifique pour capturer l’image de la PS3 alors on va se la jouer à l’ancienne, et je vais tenter de raconter mon expérience par écrit, en plusieurs épisodes.

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Je n’y ai joué qu’une heure, mais je peux déjà vous parler de plusieurs points.
L’intro du jeu est digne des plus grands films du genre. Absorbée dès le départ, je n’ai même pas vu la transition qui nous amène de la cinématique au gameplay. Elle est pratiquement invisible. Sur le coup, je me suis dis « Ah c’est moi qui ai les commandes là ? » Bluffant. A ce moment du jeu, on incarne la fille du protagoniste qui se fait réveiller en pleine nuit. Elle a donc clairement la tête dans le cul et il s’agit uniquement de la faire marcher à travers la maison, mais le ressenti est incroyablement réaliste. On ressent une « résistance » du fait qu’elle titube à moitié, puisqu’elle n’est pas tout à fait réveillée.  Mieux encore, une fois qu’on se retrouve à incarner le protagoniste un peu plus tard dans l’intro, on doit courir avec sa fille dans les bras à travers les rues bondées de gens paniqués, et là encore le ressenti est impressionnant. Le fait qu’il court avec sa fille dans les bras fait qu’il n’est pas stable et plutôt difficile à orienter.

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En ce début de jeu, j’ai pu constater :

1) Que le jeu est magnifique. Même marcher à travers la ville est plaisant. On voit à peine la transition entre la cinématique et le gameplay.

2) Le « ressenti » en prenant la manette est ultra réaliste. Mais pas simple au départ.

3) L’ambiance est géniale. On est loin d’un Left for Dead 2 où il s’agit de défourailler, là on est en mode « survivant », on compte nos munitions et on esquive au maximum la confrontation avec un infecté, choisissant un mode de déplacement plus discret, et du coup bien plus stressant.

Je me suis surpris à retenir ma respiration à plusieurs passages, de peur de me faire repérer par un zombie ^^ d’autant plus qu’on se rapproche des « zombies » de 28 jours plus tard : ils sont vraiment extrêmement violents. On a également des ennemis humains (Eux ne mordent pas, mais ils savent se servir de leurs flingues et de leurs poings.)

Bref, affaire à suivre… :)

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