Longmire // Saison 2. Episode 8. The Great Spirit.
Cet épisode était tout simplement grandiose. Certainement l'un des épisodes les plus beaux de toute l'histoire de la série. Les décors étaient somptueux, ce désert ocre, ce soleil, les
personnages, ce cheval, etc. Ce sont tout plein d'éléments de ce genre qui rendent cet épisode de Longmire encore plus jouissif et encore plus plaisant. Ce n'est pourtant pas
rare que je passe un très bon moment devant cette série. Bien au contraire, cela arrive depuis en plus souvent, mais je dois avouer que je ne m'attendais pas nécessairement à ce qu'elle exploite
aussi bien son univers. Cette semaine, Walt va se retrouver à confronter dans un premier temps Branch vis à vis des méthodes de ce dernier. Ce que j'aime bien c'est que Walt est quelqu'un qui est
capable de se mouiller alors que Branch non. Branch préfère que ce soit les autres qui fassent les choses à sa place mais Walt est quelqu'un de très perspicace et va laisser Branch le faire.
Ce n'est pas pour autant que Walt ne va pas se permettre à la fin de l'épisode quelque chose en marge de la loi. Malmener un suspect pour avoir la réponse que l'on veut (surtout de cette façon)
c'était assez violent mais encore une fois excellent. La mise en scène, léchée jusqu'à la moelle, m'a laissé un sentiment de jouissance absolue. Longmire est une série qui peut
faire rêver ses téléspectateurs avec un peu de sable, et de belles couleurs. C'est fou. En tout cas, cela fonctionne à merveille sur moi. C'est aussi beau qu'une Breaking Bad
dans ses plus beaux moments (en termes de réalisation j'entends bien). Cette semaine, un cheval est retrouvé alors qu'il traine le corps sans vie d'un homme. Toute cette petite affaire était
aussi un moyen intelligent de changer un peu la donne. La série laisse tomber la mécanique habituelle et permet à Walt de nous montrer l'étendue de ses talents.
Note : 9/10. En bref, whoua tout simplement.