L’ombre que le vent agite
Au plus haut du ciel
Laisse subodorer
La douce présence de toi.
Au bord de ma nuit
Une poussière d’étoiles
Foule le sentier
D'un temps évanoui.
Lorsqu’enfin dans le clair-obscur ,les mots s’apaisent
Une goutte d’eau
Glisse sur la toile de ma vie.
Un visage éclatant de lumière
Suspendu à plein-temps,
S’engouffre
Dans la blancheur de mon corps.
Tombe le masque
Je vais ailleurs.