King and Maxwell // Saison 1. Episode 6. Stealing Secrets.
Voir Jerry O'Connell dans une série est souvent un mauvais signe. Mais dans une série comme King and Maxwell cela peut finir par devenir drôle. Et effectivement,
c'était plutôt drôle. Je ne suis pas un grand fan de cet acteru mais il est doué d'autodérision (Piranha 3D) et puis parvient aussi à devenir sympathique par moment (The
Defenders). Au delà de ça, son personnage dans King and Maxwell n'est pas ce qu'il y a de plus inspiré non plus à mon grand damne. Le cas de la semaine va permettre à
Michelle Maxwell de servir un peu plus à quelque chose ce qui m'a fait plaisir. Bien que Sean reste encore une fois l'un des rares attraits de la série pour les scénaristes. Il y a cependant
encore tellement de choses à faire autour de Michelle, car j'ai envie d'en apprendre un peu plus sur son passé. Sa relation avec Sean reste amusante la plupart du temps mais encore une fois
King and Maxwell n'embrasse pas totalement le côté fun de cette relation. Ils pourraient encore plus grossir les traits et délivrer alors quelque chose de drôle et d'efficace à
la fois.
Mais cela ne semble pas être dans les plans de King and Maxwell. Pourtant dans cet épisode nous avons eu droit à Jerry O'Connell pour quelques scènes plus
légères. Le seul souci que j'ai eu avec son personnage c'est son utilité plus que discutable. Il est là pour faire le pitre et c'est tout. Les scénaristes ont du engager l'acteur uniquement dans
ce but là. Surtout que pour tripoter de la sorte Rebecca Romijn, je pense qu'un acteur de cette trempe était nécessaire. Cette semaine un membre du Congrès demande donc l'aide de
Sean et Michelle afin de découvrir l'identité d'un bloggueur qui ne cesse de le perturber. Sauf que ce bloggueur va être assassiné et bien entendu, King and Maxwell est là pour
mettre la main sur le tueur et le pourquoi du comment. D'un côté, on retrouve un peu l'esprit fun d'une série anglaise. Et je suis certain qu'avec une écriture plus anglaise la série serait plus
drôle. Sauf que les américains ne sont à mon sens pas les gens les plus réceptifs à l'humour british. Il faut bien avouer qu'il est parfois spécial. Sauf qu'une bonne série d'action ne fait pas
de mal.
Note : 4/10. En bref, malgré quelques idées et la présence de Jerry O'Connell, cet épisode finit par devenir assez ennuyeux par moment alors que l'intrigue pédale dans la semoule.