Le contrôle de la pensée et de l’histoire humaine
Comme je le notais dans mon précédent article, notre histoire a fait, et fait toujours l’objet d’un contrôle par une autorité puissante, religieuse, politique et économique. On nous inculque des fausses vérités, on nous force à croire à de faux dieux, on déforme notre vision du réel pour nous pousser dans des directions qui sont loin de notre perception intérieur, on fait tout pour distraire notre cerveau en ne le laissant jamais penser de lui-même pour lui-même. La technologie est un nouveau dieu de référence, au point que les jeunes générations sont absorbées par cette technologie qui les détache d’une réalité physique pour les plonger dans une réalité virtuelle, le monde virtuel est tellement plus beau que le monde physique…
Mais parfois, cette réalité dépasse l’entendement, celui que l’on nous a imposé, ainsi depuis des siècles, nous qui méprisons les dieux de l’Olympe pour un dieu unique et supérieur, selon certains, sommes habitué à croire qu’un être a créé la terre en 7 jours, la nature, puis la faune et pour achever son œuvre, il a créé l’homme et la femme à son image, nous, vous et moi. C’est le principe même de la création.
Nombreux sont ceux qui croient que le lapin sort tout droit du chapeau du magicien, d’autres sont plus sceptiques et croient qu’il existe un nivellement dans le système évolutif des espèces vivantes, je suis de ceux-là, étant moi-même créateur, j’ai conscience qu’une création ne peut-être spontanée, et qu’ils faut du temps, des strates de création pour parvenir à une œuvre finale, il en va de même pour tout ce qui vit.
La création d’une espèce vivante prend du temps, beaucoup de temps, cela se mesure en millions d’années d’évolution et d’adaptation au milieu. L’ours blanc était jadis noir, il n’avait pas de pattes palmées, il n’était pas adapté pour les grands trajets marins, sous-marin, il l‘est devenu à force de vivre dans un milieu hostile pendant des millions d’années.
La terre a 4,5 milliards d’années et tout autant à vivre, de 0 à 4,5 milliards d’années un être tardif s’est détaché du lot pour devenir le prédateur le plus effroyable que la terre ait jamais connu, l’homme.
Sa faculté de prédation est telle, que peu d’espèces peuvent partager le même espace que lui, il envahit et détruit tout, c’est un cannibale, destructeur, sans pitié et sans réflexion sur l’avenir de sa propre espèce, c’est une espèce tardive qui s’anéantira bien avant que les fourmis, scorpions et araignées ne s’éteignent et qui sont présentent depuis l’aube des temps.
En revanche l’homme est une espèce récente, près de 6 millions d’années, c’est peu, mais c’est suffisant pour détruire son environnement. Dans cette espèce de primate il y a eu plusieurs sous espèces, mais on ignore absolument tout du phénomène qui a permis à l’australopithèque de devenir Neandertal puis Cro-Magnon, l’homme moderne que nous connaissons.
Nombre de mythes indiquent que la transformation est venue des étoiles, des traces inscrites dans la pierre, gravées, peintes dans des grottes nous indiquent que des êtres supérieurs nous ont façonné, les grecs même indiquent que ce sont les dieux qui les ont civilisé, l’évolution nous vient de toute évidence d’ailleurs, ensuite, la civilisation aidant, l’homme a qualifié son créateur sans donner de détails, ce qui indiquerait justement une faiblesse de compréhension pour laisser l’imagination combler les vides. Sur ce point, d’autres hommes ont compris qu’il était plus facile de prétendre savoir pour obtenir le pouvoir sur de plus faibles, des naïfs.
Ce système existe depuis des millions d’années, une volonté imposée de ne pas croire à la réalité extraordinaire et de la rendre mythologique, voire, improbable, en agissant de là sorte on nie l’existence de la différence pour plonger l’humanité dans l’obscurantisme intellectuel, qui perdure encore aujourd’hui.
Les sirènes, Mythe ou réalité ?
Prenons l’exemple des sirènes, on retrouve des représentations d’homme poisson depuis des milliers d’années, on les trouve sur les parois des grottes en Egypte, dans les représentations dessinées au moyen-âge, en littérature avec l’Odyssée au VIIIe siècle avant JC, avec Ulysse qui se fait attacher au mat de son bateau sur les conseils de Circée la magicienne, pour résister au chant « envoutant » des sirènes, un champ si insupportables que les marins l’entendant devenaient fous et se jetaient à l’eau pour s’y noyer.
La sirène est un animal de légende, pourtant, chacun sait que l’homme n’a aucune imagination dès qu’il s’agit de créer des êtres extraordinaires, il fallait bien un fond de vérité, il fallait bien que les hommes les aient vu au moins une fois pour les représenter, même furtivement… la sirène est resté dans le monde de l’imaginaire, malgré les témoignages des marins, de ceux qui ont passé leur vie sur l’eau et qui les ont décris, mais enfin pourquoi croire un pauvre pêcheur inculte ?
50 cétacés s’échouent sur une plage, mais il y avait autre chose…
En avril 2004, dans l’état de Washington, la Navy, qui est coutumière de fabriquer des machines destructrices ultra secrètes et dévastatrices pour éliminer ses ennemis, a mis au point un canon sonar pour couler les sous-marins ennemis, ce canon a la faculté de désorienter, pire, de tuer les sous-marinier à l’intérieur de leur sous-marin, en provoquant de graves lésions au cerveau, une arme qui, si elle était dévoilée, serait interdite par la convention de Genève, mais nous savons que la Navy paranoïaque se fiche de toutes les conventions humaines.
Le problème est que depuis que la Navy fait des essais avec ce canon, plus de 300 millions de mammifères marins sont morts. La responsabilité de ce génocide en incombe aux USA qui font leurs essais autour du globe sans se soucier de la vie sous-marine, et sans respecter les espèces peuplant la mer, des espèces dont nous savons très peu de choses.
Lors d’un de ces échouages de plus de 50 cétacés sur les côtes américaines, deux jeunes garçons se trouvèrent sur le site avant tout le monde, l’un d’eux avait un téléphone portable doté d’une caméra et filma la scène, le plus jeune fut attiré par une forme inhabituelle, une queue de cétacé, plus courte que celle des baleines, et recouverte d’algues, il fut surpris de découvrir une forme familière dans le sable, une main, une main qui semblait humaine, il saisit un bâton pour toucher cette chose étrange, puis d’un coup, celle-ci prit vie en hurlant, c’était un choc, une terreur, l’enfant venait de découvrir une sirène.
Par chance, la Navy ignora que le plus grand avait filmé cette scène et les enfants se gardèrent bien d’en parler aux enquêteurs qui tentèrent de les persuader qu’ils n’avaient vu que des animaux. Concomitamment, trois chercheurs appartenant à NOAA, fondation sur l’étude des espèces marines basée à Seattle, dont le professeur MacCormick qui avait déjà publié en 1999 un article sur les expériences de la Navy dans les fonds marins, ainsi que le Dr Paul Robertson biologiste marin et le Dr Rebecca Davis, aperçurent sur la plage, la Navy faire des prélèvements particuliers et envelopper un cadavre dans un tube semi rigide, à cet instant, ils ne se doutaient pas de ce qu’ils allaient découvrir.
Ils firent des prélèvements sur les cétacés morts et de retour au labo, se livrèrent à leurs analyses. Ils constatèrent que tous les cétacés avaient subit des dommages cérébraux identiques et certainement causés par une source sonore extérieure. Avant la catastrophe, ils enregistraient les fonds marins et notèrent deux sons particuliers, le premier était une fréquence inconnue déjà enregistrée en 1997, un signal sonore extrêmement développé qu’ils appelèrent le « bloop », un système de communication élaboré et plus avancé comme il n’en existait pas encore, un langage si évolué que l’on pourrait le rapprocher de celui des humains et qui ne provenait ni des dauphins, ni des baleines qui accompagnaient ceux qui émettaient cette fréquence, mais la seconde qui écrasa la précédente était clairement une fréquence militaire, ils en déduisirent que la Navy faisait à nouveau des essais avec un canon sonar qui était la cause de ce massacre.
Découverte d’une nouvelle espèce de mammifère marin en Afrique du Sud…
Quelques mois plus tard, les trois scientifiques furent appelés en Afrique du Sud, le 10 juillet 2005 sur la plage de Kommetjie, par le Dr Gavin Ditman professeur à l’Université de Cape Town qui avait entendu parler des recherches des trois scientifique de NOAA, puisque les sud africains avaient également enregistré un « Bloop ». Dans cet enregistrement, on entendait clairement une communication entre le langage mystérieux et les dauphins, un échange parfait. Les chercheurs de NOAA pensaient être face à une nouvelle espèce de dauphins.
Un événement similaire venait de se produire sur cette plage, la Navy avait peut-être encore frappé puisque les cadavres de cétacés présentaient exactement les mêmes blessures que sur la plage de Washington, un traumatisme sonique avait tué toutes ces baleines, cachalots, delphinidés. Puis le Dr Ditmar leur demanda de se rendre dans un port où se trouvait un grand requin blanc suspendu à un crochet. Le Dr MacCormick demanda pourquoi on les appelait pour un requin blanc, le Dr Ditmar répondit :
- - Oh, ce n’est pas pour le requin que vous êtes là, mais pour ce qu’il y a dedans.
Ils découvrirent une étrange carcasse en état de putréfaction, pour partie humaine, pour partie otarie, dauphin, pourtant, il semblait qu’il s’agissait du corps d’une nouvelle espèce inconnue jusqu’alors. Le Dr Robertson fut attiré par une blessure sur la mâchoire inférieure du requin, il en retira un dard de raie, il ne fut pas particulièrement surpris de l’y trouver, car les requins mangent souvent des raies, mais pas le grand blanc, il mit dans un sac l’objet et l’oublia.
L’affirmation des trois chercheurs concernant les essais de la Navy, furent confirmés par le témoignage de personnes associées au projet, la Navy développait effectivement une arme de résonnance sous l’eau utilisant des canons à fréquence destinée à toucher des objets sous pression à un mile de distance. Les dommages infligés aux équipages de sous marins sont exactement les mêmes que ceux dont ont souffert les cétacés échoués. Mais la Navy éprouva quelques difficultés avec ces canons qui étaient endommagés ce qui était impossible car ils étaient reliés à un câble dans des caissons étanches en grande profondeur, nul ne put trouver une explication à ces dégradations et pourtant elles étaient tangibles, quelqu’un ou quelque chose les avait délibérément détruit en très grande profondeur sous des tonnes de pression, mais qui ?
à suivre...