Les 9,7 millions d’euros remportés chaque année par Novak Djokovic ou les 6 millions de Victoria Azarenka (sans compter les sponsors) contrastent difficilement avec les 20 780 euros gagnés par le 200ème mondial (sans compter toutes les taxes et les frais). Des disparités trop brutales ?
Un monde ambivalent
En ce qui concerne le salaire des joueuses et joueurs professionnels, il n’y a pas de réponse tranchée. Un fossé abyssal sépare les meilleurs, à savoir les 200 premiers mondiaux des autres, bien que les autres font aussi partie des meilleurs puisqu’il n’y a pas loin de 1500 joueurs professionnels actuellement.
Avant de figurer cinquième au classement des 10 sportifs les plus riches, Roger Federer a, en effet, dû se hisser jusqu’au podium et y rester longtemps. Contraste saisissant : en-deçà de la 200ème place (et même avant pour les filles), les joueurs ne parviennent pratiquement pas à gagner leur vie.
Le top du panier : un monde à part
En règle générale, le top du top affole les compteurs. Il est généralement appelé le « Big Four » et se compose de Roger Federer, Rafael Nadal, Novak Djokovic et Andy Murray. Ils n’ont d’ailleurs pas fini de pulvériser les records. Le dernier en date est la 8ème victoire de Rafael Nadal à Roland Garros. Mais les paris en ligne en ressortent aussi gagnants et représentent maintenant 20% du marché. Pas facile de parier pour tel ou tel joueur vu tous les aléas planants au-dessus d’une rencontre dont le résultat devait être prévisible. Si vous souhaitez maximiser vos chances, vous trouverez plus d’informations sur ce site. Le tennis est un sport qui se focalise sur le haut de la pyramide pour le plus grand plaisir des spectateurs et des parieurs. Il s’agit, finalement, d’une culture élitiste préservée…
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