Le constat aujourd’hui, c’est que la moitié des films ne font plus l’objet d’aucune critique, d’aucun commentaire. Autrefois, un journal comme "cahiers du cinéma" avait des critiques qui pouvaient visionner tous les films et en faire la critique, et ce n’est plus possible maintenant. La difficulté est d’être vue, un peu comme pour les 400 romans de la rentrée, et les millions de livres à compte d’auteur, ou ces films jamais diiffusés.
Nous, blogueurs, nous avons l’ardente obligation de fouiller tout ce qui existe et de le relater sur nos blogs, nos pages facebook. Ecrire sur les oeuvres, c’est leur permettre d’exister de laisser une trace et peut-être de trouver leur public. N’oublions jamais que Gallimard a raté Proust et Céline, les deux plus grands écrivains de leur siècle.
Il nous faut sans cesse chercher le diamant dans la tonne de boue peut-être que nous allons remuer, partager, à tout prix. LA plupart des œuvres ne correspondent qu’à des besoins commerciaux, et il nous reste à découvrir l’essentiel.