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suite 2... Sirène, Mermaid, le mythe rejoint la réalité ?

Publié le 07 août 2013 par Philippejandrok


... Lors de l’autopsie de la carcasse, les chercheurs découvrirent que la cage thoracique de la créature était celle d’un animal conçu pour faire des plongées en grande profondeur, ses dents n’avaient rien de celles que l’on pourrait trouver chez un mammifère marin, qui devrait avoir des dents de la même tailles et pointues, mais celles du corps ressemblaient étrangement à celles des humains, canines, molaires, un vrai mystère, des dents d’omnivores alors qu’aucun mammifère marin n’est omnivore.

La queue ressemblait au premier abord à celle d’un Lamentin vivant dans le pacifique près des côtes, mais une fois une radio réalisée, celle-ci montra qu’il y avait des os, or la queue du Lamentin n’a pas d’os, pas plus que celles des baleines. Le crane de la créature dont il manquait la moitié présentait un trou au milieu du front, un moulage fut coulé, puis envoyé à un professeur spécialisé dans la reconstruction des squelettes. Le pelvis fut également radiographié, or, il était bien plus grand que nombre de ceux des mammifères marins, ainsi, ce cadavre n’était ni une otarie, ni un homme, ni un dauphin, et pourtant, cette créature parlait dauphin.

Dans leurs recherches, ils découvrirent un os qui n’appartenait pas à la carcasse, celui-ci semblait avoir été manufacturé, il était fendu et des traces de filament végétal était autour. De son côté le Dr Davis tenta de reconstituer les phalanges pour faire une nageoire, une queue, elle fit toutes les combinaisons possibles pour les mammifères marins, aucune ne semblait fonctionner, jusqu’à ce qu’elle eut l’idée de les assembler comme une main humaine, parfait assemblage, les os correspondaient à une main humaine.

Ses deux camarades se concentrèrent sur un bioacid très particulier et unique trouvé dnas la moelle épinière de l'animal, un bioacid qui permet au sang de rester fluide dans les glaciales profondeurs de la mer, ainsi qu’une protéine de sang appelé myoglobine qui garde l’oxygène dans les muscles comme pour les mammifères marins, un autre détail, cet animal était également victime du canon sonar de la Navy, donc la Navy touchait également une nouvelle espèce sous-marine.

Toutes ces découvertes troublantes nécessitaient des avis scientifiques supplémentaires, l’équipe fit appel au Dr Stefen Perseal du Smithsonian Institute, spécialisé dans la bioméchanique, il fit un scan de la queue de l’animal et réalisa que cette queue était unique et qu’il n’avait jamais observé ce type de membre nulle part ailleurs. En analysant les hanches, il remarqua un détail qui lui semblait étonnamment familier, ces hanches étaient sans le moindre doute, celles d’un être humain, cette créature avait jadis marché sur deux jambes. Le fait que cette créature marchait sur deux jambes et qu’elle avait des mains, prouvait que l‘on devait repenser l’image de l’humanité, car ce mammifère marin appartenait jadis à la même espèce que celle des hommes et que, en dehors de son évolution dnas le mileiu marin, elle restait un être humain avec un ADN commun, semblable, quasi identique.

En revenant sur cet os gravé, qui n'appartenait pas à la carcasse, le Dr Robertson se souvint qu’il avait retiré le dard de raie de la machoire du requin, il le sortit et celui-ci rentra parfaitement dans l’os, c’était un outil, une arme de chasse. Cela expliquait enfin les histoires de pêcheurs racontant que des poissons pêchés avaient des harpons dans la chair, des poissons pêchés à des centaines de kilomètres des côtes.

Dans la province du Gauteng, le Dr Leanne Visser de la Witwaterbrand Université reconstituait le crane de la créature à partir d’un fragment que le Pr. MacCormick lui avait confié en ne précisant pas qu’il s’agissait d’un crane actuel, durant le déroulement de la reconstruction, elle remarqua que le crane avait des orbites oculaires exceptionnellement larges qui ne pouvait pas appartenir à un homme moderne, pourtant, les chercheurs de NOAA l’informèrent qu’il s’agissait d’une espèce actuellement vivante et non pas d’un fossile. La forme du crane était similaire à celle des grands singes et à celle de nos premiers ancêtres, mais pas à celle de l’homme moderne, malgré les similitudes.

Une fois la reconstruction achevé, le Dr Visser scana le crane et constata que la partie du cerveau réservée à l’interprétation des sons était dans ce crane extrêmement développée, bien d’avantage que celle d’un un homme actuei. Les chercheurs constatèrent également qu’un léger enfoncement au sommet du crane permettait la formation d’un « melon » de chair qui pouvait envoyer et analyser un nombre impressionnant de sons, or avec ces nouvelles données, le « bloop » pouvait enfin être attribué à un mammifère marin, et ce ne pouvait qu’être celui-là.


Le Dr Paterson, en vint à cette conclusion qu’il s’agissait bel et bien d’une sirène, tout concordait, la reconstitution, les os, la structure du squelette, le harpon…

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Toutes les sociétés humaines ont fait état des sirènes au cours de l’histoire de l’humanité, des hommes qui n’avaient aucun contact entre eux, ont raconté les mêmes histoires, fait les mêmes descriptions, les mêmes dessins et aujourd’hui nous obtenons enfin une preuve tangible de l’existence d’un membre de la famille des humains qui est retourné vivre dans la mer mais qui reste un humain. En Egypte, des peintures rupestres datant de 35 000 ans, montrent des humains chassant les sirènes, des sirènes qui chassent avec les dauphins, les poissons.

A Cape Town, le 8 aout 2005, les autorités vinrent saisir au petit matin toutes les recherches des chercheurs américains, même, la reconstitution du crane de la sirène. « Confiscation d’une découverte d’importance nationale », fut la raison invoquée, mais tout le monde sait qu’il s’agissait d’une opération de la Navy qui refuse encore aujourd’hui d’admettre les essais du canon sonar.

Nous sommes face aujourd’hui à une réalité scientifique qui contredit les vérités qui nous ont été imposées par les états et le clergé. Dieu a fait l’homme à son image, il a également fait la sirène, est-elle, ces êtres sont-ils à son image, alors qui sommes-nous, qui sont-ils ?

Même si la théorie Darwinienne n’est pas complètement exacte, nous nous trouvons dans la même situation, pire, car il ne s’agit pas aujourd’hui d’hypothèses mais de preuves tangibles, physiques, moléculaires, la Navy infirme cette vérité, il n’y a pas de nouvelle espèce, au contraire, reconnaître que cet espèce existe, la pousserait à ne plus faire d’expérience destructive dans la mer, or, il vaut mieux exterminer cet espèce pour tout le monde.

Nous avons pu constater dans l’histoire de l’humanité que chaque différence a été supprimé dans le sang, éradiquée, l’homme est incapable de partager son environnement avec son voisin sans développer d’agressivité, sans faire la guerre, sans semer la destruction, tout l’inverse du monde animal. Il suffit de jeter un regard dans la rue pour voir des manifestations haineuses et homophobes contre des homosexuels qui veulent se marier entre eux, la même espèce et pourtant une opposition fondamentale. Les USA contre les musulmans, les musulmans contre le reste du monde, l’homme est incapable de vivre en harmonie avec son entourage, il y a toujours un prétexte pour développer la guerre et avec ça, nous avons la prétention d’aller dans l’espace ? Pour y apporter quoi ? Nos haines ?

Certains dirons à une autre espèce que les gays sont à exterminer, les musulmans prétendront que les mécréants doivent mourir, les juifs fondamentalistes expliqueront qu’il faut exterminer les arabes, mais à quoi cela rime-t-il ? Si nous devions être exterminés par une puissance extra terrestre, je suis persuadé d’une chose, seuls les humains seront visés, et qu’importe qu’ils soient jaunes ou verts, ils seront exterminés de la même manière.

Lorsque que Christophe Colomb a découvert l’Amérique, les indiens étaient considérés comme inférieurs, la conférence de Valladolid en 1527 a confirmé cette infériorité en statuant sur l’absence d’âme des populations indigènes puisqu’elles ne croyaient pas au même dieu, donc, les espagnols pouvaient sans la moindre difficulté leur faire subir tous les sévices sans craindre le courroux de Dieu. Pourtant, ces « sauvages » avaient plus de connaissances en astronomie que les espagnols n’en eurent jamais. Les Indiens ont été pillé, exploité, violé pour les femmes, assassiné pendant près de cinq siècles à cause d’une chose, leur différence.

Lorsque Cro-Magnon a découvert Neandertal, il la pourchassé pour l’exterminer, il a éteint une espèce d’homme différente de la sienne, en Afrique équatoriale, les pygmés, encore aujourd’hui, s’ils sont capturés par d’autres ethnies sont assassiné sous prétexte que ce sont des sous hommes.

L’homme est un loup pour l’homme. A présent que feront les hommes civilisés s’ils mettent la main sur cette espèce extraordinaire que sont ces insaisissables hommes poissons ?

La Navy fera sans doute des expériences horribles sur les spécimens capturés, comme les Nazis l’ont fait sur les juifs, puis, ils trouveront le moyen de les exterminer car ils mettent, par leur simple existence, en péril tout le fondement culturel et religieux de notre civilisation.

Quelle autorité aura le pouvoir d’intervenir pour protéger cette nouvelle espèce des malfaisants humains qui décident à notre place pour notre « confort » et notre sécurité ? Cette nouvelle espèce n’a jamais mis l’espèce humaine en danger, mais la Navy utilisera ce prétexte pour les exterminer, mais nous devons nous opposer à ces massacres de cétacés et de cette nouvelle espèce, nous devons apprendre à vire en harmonie avec toutes les espèces vivantes et cesser de détruire leur habitat pour notre illusoire confort.

Le Dr Robertson a renoncé, il a quitté avec ses deux collègues le NOAA Research Intistute qui  a clairement collaboré avec la Navy, il sait qu’il a découvert un maillon de l’espèce humaine vivant dans les grands fonds, il sait qu’il existe des frères humains qui ont construit une société avec un langage aussi élaboré que celui des hommes vivant sur la terre ; ceux-là  vivent en pleine harmonie avec les baleines et les dauphins, est-ce pour cela que les cétacés sont les amis des hommes et qu’ils se laissent massacrer sans comprendre par ces humains sans queue de poisson, car ils reconnaissent en nous une espèce amie ??? C’est comme si vous tiriez une balle dans la tête à votre chien, alors qu’il vous fait confiance.

Le Dr Robertson sait que nos frères aquatiques sont en danger et que nous les menaçons, c’est pourquoi il a décidé de rendre publique ses recherches qui lui ont été volées par des individus qui essayent de construire une fausse histoire de l’humanité.

Que pouvons nous faire à notre niveau ?

Informer, divulguer cette réalité, apprendre aux générations futures que notre planète est un don sacré et que chaque espèce vivante a sa place et que nous devons la respecter.

Si l’on vous demande à présent si les sirènes existent, vous pourrez dire sans la moindre hésitation qu’elles existent, qu’elles font partie de notre arbre généalogique, mais qu’elles ont choisi un autre chemin, celui de la mer.

Cela ne fait pas des sirènes des êtres inférieurs, bien au contraire, se sont des hommes poisson parfaitement adaptés à leur milieu avec des capacités cérébrales extrêmement développées, une espèce qui a su rester cachée durant des centaines d’années et qui doit le rester pour sa sécurité et la préservation de son espèce.

Chers lecteurs, faites circuler cet article, il doit être lu, les vidéos doivent être visionnées par le plus grand nombre pour faire bloc contre ces malfaisants qui veulent réécrire l’histoire de l’humanité pour de mauvaises raisons.

Nous vivons une époque formidiable…


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