Une conférence de presse réalisée par le ministre de la Poste et des TIC ivoirien, Bruno Koné explique en détail l’état actuel de la télécommunication.
En fait, les opérateurs téléphoniques en Côté d’Ivoire distribuent actuellement plus de 20 millions de cartes SIM environ. Celles-ci fonctionnent toutes et le recensement des opérateurs fait état de plus de 16 millions d’abonnés suivant les identifications effectuées par l’État. Cette montée fulgurante de la vente de carte SIM est bénéfique pour les opérateurs, mais représente une menace pour le cyberespace. C’est le souci majeur du ministère actuellement. Donc tous les utilisateurs en trop devraient être bloqués, voire disparaitre. Et de ce fait téléphoner au maroc par exemple se ferait avec un tarif raisonnable. Durant environ 24 mois, le ministre Bruno Koné a précisé que cette hausse n'est pas normale et risque de ruiner le cyberespace. En effet, la loi sur les négociations électroniques, celle sur la sécurité des données personnelles et sur la cyber sécurité devrait être révisée. Les appels internationaux doivent notamment être accessibles et abordables.
De nouveaux bureaux permettant de revisiter ou de créer ces lois verront le jour afin de gérer le maintien de ce secteur. Ainsi, les objectifs à atteindre seront définis et correspondront aux attentes des consommateurs. Le but consiste donc à constater une réelle évolution de la situation ivoirienne au bout d’une année. La téléphonie mobile en Côte d’Ivoire en sera ainsi stabilisée et sécurisée dans l’espoir évidemment que ce secteur puisse devenir une valeur ajoutée au pays. Lors de cette conférence de presse, le ministre de la Poste a mis le point notamment sur les sanctions infligées aux cybers récalcitrants. À savoir des amendes pouvant aller jusqu’à 100 millions de CFA voire un emprisonnement de plusieurs années. Le pays compte surtout s’ouvrir à ses voisins et faciliter le fait de téléphoner pas cher au Sénégal ou encore téléphoner en algérie.
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