Coucou les gens!
J’ai enfin continué ma session Shakespeare (que je compte bien au fait compléter par Shakespeare in love), et c’est donc avec graaaaaaaand plaisir que je vous parle de ce troisième opus de la saga télévisée The Hollow Crown, Henry IV part 2.
Henry of Monmouth, I am thein.
Dans cette seconde partie, nous retrouvons le roi Henry IV juste après la bataille de Shrewsbury. Diminué par une mystérieuse maladie, le roi prépare sa succession, entouré de ses trois fils, le prince Hal étant retourné à ses travers, ou peut-être pas. Hal a en effet découvert que Falstaff l’avait manipulé, et décide de se venger…
Cet opus-ci renoue avec des relents plus dramatiques, mais est toujours tellement bien joué qu’on s’en fout. Les rimes passent toujours aussi bien, les larmes aussi, et GOD I AM IN LOVE!
Y a certains jours, comme ça…
Henry IV Bolingbroke est toujours incarné par l’immense Jeremy Irons, et je défie quiconque de mourir aussi bien que lui on-screen. Bordel, j’en ai pleuré…
Le prince Hal est lui aussi toujours incarné par cet espèce d’enfoiré aux yeux bleus et à la voix irrésistible qu’est Tom Hiddleston, et cette fois-ci on a droit à une scène aux bains, donc en torse nu, siouplait. Je ne vous parlerai pas de mon taux hormonal à ce moment-là…
Let me love you…
Sir John Falstaff est lui aussi toujours interprété par Simon Russell-Beale.
Le Earl de Northumbeland pleure la mort de son fils, de son vrai fils en plus, chapeau bas à Alun Armstrong, j’en ai eu les yeux qui piquent…
L’un des rares nouveaux visages de cet épisode, mais un visage que vous connaissez bien, vous, les fans de Downton Abbey et de Game of Thrones. Car oui, les enfants, tant qu’à se payer des voix inoubliables, ajoutons au panier Iain Glen, aka mon Jorah Mormont préféré (parce que Richard Carlisle était un enfoiré, hein Michelle?).
Bref, les enfants, peut-être un peu plus "ennuyeux" (comment pourrait-on dire cela de The Hollow Crown?) que les deux précédents, mais véritablement sublime.
Note: 9,25/10 (scénario: 9/10 – jeu: 9/10 – BO: 9/10 – adaptation: 10/10)
Enjoy, mon poussin, c’est la première fois qu’on ne te dispute pas le trône…