Le Hobbit : un voyage inattendu, ou comment partir à l’aventure !

Coucou les enfants,

Alors aujourd’hui, je vous parle d’un film que j’aime particulièrement. Cela fait 3 jours que je le regarde en boucle sans pour autant m’en lasser outre mesure, bien au contraire !

Fan du Seigneur des Anneaux (films ou livres, les deux sont géniaux !), je n’ai pas pu résister à The Hobbit (ce qui m’a donnée une bonne excuse pour acheter un bouquin cette année !).

Sorti en décembre 2012, j’ai eu de la chance de le voir avant la-dite "fin du Monde". Au moins, j’aurais pu mourir l’esprit en paix avec cette saga .

Dans UN VOYAGE INATTENDU, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d’Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu’il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n’est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu’ils se destinent à mettre le cap sur l’Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d’abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.
C’est là qu’avec Gollum, sur les rives d’un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d’un courage et d’une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d’or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s’en doute encore…

Avant de parler du film en lui-même, je voulais dire que c’était très dommage que le synopsis soit aussi révélateur. Il me donne certes la ligne conductrice du film mais il me sort un moment clé. Pardi, quel blagueur celui-là. Bref, c’est dommage pour ceux qui n’ont pas lu le livre !

Je vais commencer par les reproches pour ce film, qui sont plus d’un ordre technique que du ressenti : j’ai eu l’impression que le film a été bâclé, notamment à cause d’un trop plein de numérique. Je vous explique, à un moment, si on est attentif, on peut remarquer que certaines scènes ont l’air numérisée. Alors qu’en fait, il n’en est – presque – rien : en effet, le film a été tourné en HFR (= 48 image par seconde au lieu des 24 habituelles), ce qui enlève de l’authenticité au film car cette technologie est très perfectionniste & apporte – trop? – de netteté à l’image, ce qui donne une impression de numérique.

Mon deuxième & dernier reproche concerne le ton du film : on ne sait pas trop comment se situer. Est-ce épique? Humoristique? On passe d’un ton à l’autre & pour certains, ça peut être fatiguant. Mais pour les habitués, ils comprendront bien vite que ces moments sont nécessaires pour apprécier ce film.

Bref, passons maintenant aux – multiples – côtés positifs : ce film est absolument génial, les décors sont somptueux, il est très bien tourné & surtout TRES fidèle au livre ! Même s’il tombe dans la surenchère, Peter Jackson a encore réussi à nous donner les moyens & l’envie de s’attacher à ces personnages, qu’ils soient dépassés par les événements ou qu’ils aient la sensation de porter le monde sur leurs épaules, on a envie qu’ils y arrivent à cette quête, à cette lutte contre le destin !

Je ne vous parle même pas de la magnifique scène de Gollum où le personnage de synthèse n’a jamais été aussi vrai !

Alors, pour m’avoir émerveillée encore une fois, merci Peter Jackson, merci Tolkien, merci Guillermo Del Toro de ne pas avoir pu reprendre le flambeau.

Vivement 2015 que je puisse m’enchaîner les 3 Bilbon & les 3 Seigneur des Anneaux !

Aidan Turner, acteur irlandais. The hottest dwarf !

Alors j’espère qu’après m’avoir lue, vous aurez envie de tenter l’aventure vers une échappée belle de quelques heures

I’M GOING ON AN ADVENTURE !

Tagué: anneau de pouvoir, aventure, avis, bilbon, critique, frondon, gandalf, gollum, Guillermo Del Toro, HFR, hobbit, merci, nains, numérisation, perfectionniste, peter jackson

Coucou les enfants,

Alors aujourd’hui, je vous parle d’un film que j’aime particulièrement. Cela fait 3 jours que je le regarde en boucle sans pour autant m’en lasser outre mesure, bien au contraire !

Fan du Seigneur des Anneaux (films ou livres, les deux sont géniaux !), je n’ai pas pu résister à The Hobbit (ce qui m’a donnée une bonne excuse pour acheter un bouquin cette année !).

Sorti en décembre 2012, j’ai eu de la chance de le voir avant la-dite "fin du Monde". Au moins, j’aurais pu mourir l’esprit en paix avec cette saga .

Dans UN VOYAGE INATTENDU, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d’Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu’il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n’est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu’ils se destinent à mettre le cap sur l’Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d’abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.
C’est là qu’avec Gollum, sur les rives d’un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d’un courage et d’une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d’or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s’en doute encore…

Avant de parler du film en lui-même, je voulais dire que c’était très dommage que le synopsis soit aussi révélateur. Il me donne certes la ligne conductrice du film mais il me sort un moment clé. Pardi, quel blagueur celui-là. Bref, c’est dommage pour ceux qui n’ont pas lu le livre !

Je vais commencer par les reproches pour ce film, qui sont plus d’un ordre technique que du ressenti : j’ai eu l’impression que le film a été bâclé, notamment à cause d’un trop plein de numérique. Je vous explique, à un moment, si on est attentif, on peut remarquer que certaines scènes ont l’air numérisée. Alors qu’en fait, il n’en est – presque – rien : en effet, le film a été tourné en HFR (= 48 image par seconde au lieu des 24 habituelles), ce qui enlève de l’authenticité au film car cette technologie est très perfectionniste & apporte – trop? – de netteté à l’image, ce qui donne une impression de numérique.

Mon deuxième & dernier reproche concerne le ton du film : on ne sait pas trop comment se situer. Est-ce épique? Humoristique? On passe d’un ton à l’autre & pour certains, ça peut être fatiguant. Mais pour les habitués, ils comprendront bien vite que ces moments sont nécessaires pour apprécier ce film.

Bref, passons maintenant aux – multiples – côtés positifs : ce film est absolument génial, les décors sont somptueux, il est très bien tourné & surtout TRES fidèle au livre ! Même s’il tombe dans la surenchère, Peter Jackson a encore réussi à nous donner les moyens & l’envie de s’attacher à ces personnages, qu’ils soient dépassés par les événements ou qu’ils aient la sensation de porter le monde sur leurs épaules, on a envie qu’ils y arrivent à cette quête, à cette lutte contre le destin !

Je ne vous parle même pas de la magnifique scène de Gollum où le personnage de synthèse n’a jamais été aussi vrai !

Alors, pour m’avoir émerveillée encore une fois, merci Peter Jackson, merci Tolkien, merci Guillermo Del Toro de ne pas avoir pu reprendre le flambeau.

Vivement 2015 que je puisse m’enchaîner les 3 Bilbon & les 3 Seigneur des Anneaux !

Aidan Turner, acteur irlandais. The hottest dwarf !

Alors j’espère qu’après m’avoir lue, vous aurez envie de tenter l’aventure vers une échappée belle de quelques heures

I’M GOING ON AN ADVENTURE !

Tagué: anneau de pouvoir, aventure, avis, bilbon, critique, frondon, gandalf, gollum, Guillermo Del Toro, HFR, hobbit, merci, nains, numérisation, perfectionniste, peter jackson