1. Il est facile de critiquer les violations de droits de l'homme
2. Il est utile de maintenir un contact diplomatique avec son pire ennemi.
3. Il est important de ne pas déstabiliser une région.
4. Il est indécent de recevoir un tortionnaire avec les honneurs.
5. Il est honteux de célébrer un dictateur pour ses "efforts" en matière de droits de l'homme.
"Aujourd’hui, l’espace des libertés progresse. Ce sont des signaux encourageants que je veux saluer", a déclaré lundi soir Nicolas Sarkozy à Tunis en préambule à un dîner offert par son homologue tunisien Zine El Abidine Ben Ali. "Ce chemin, aucun pays ne peut prétendre l’avoir entièrement parcouru et personne ne peut se poser en censeur", a insisté le chef de l’Etat français
6. Il est infâme de conserver des relations avec une dictature pour des raisons commerciales.
«Nicolas Sarkozy a encore une fois montré que sa politique en matière de droits de l’homme fluctue en fonction du tiroir-caisse» (source)
7. Il est nécessaire de critiquer les violations des droits de l'homme.
"La secrétaire d’Etat (Rama Yade) a refusé de se rendre au local de la LTDH (Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme), prétextant des « problèmes internes » (source Afrik.com)
Ami Sarkozyste, où es tu ?&alt=rss