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Savants maudits, Chercheurs exclus

Par Memophis

Le documentaire de Pierre Lance, « Savants maudits, Chercheurs Exclus » relate les déboires Savants maudits_de certains scientifiques, pour la plupart méconnus, oubliés, attaqués en justice, ou encore volontairement décrédibilisés parce qu’ils remettaient en cause les dogmes et les croyances établis. Le profit conditionne désormais nos recherches et a remplacé le bien-être de l’humanité, la terre tourne t-elle encore rond dans le milieu scientifique ?

  • Paul Kammerer, biologiste autrichien, qui, en 1924, prouva par des expériences sur les salamandres l’hérédité des caractères acquis. Accusé à tort par des savants américains d’avoir falsifié le résultat de ses expériences, il fut « suicidé » par les nazis, car sa découverte ruinait le dogme de l’immuabilité génétique. Les savants occidentaux maintinrent le dogme, refusant de réhabiliter Kammerer.
  • Antoine Béchamp, professeur de toxicologie et de chimie médicale à la Faculté de Montpellier, qui découvrit l’élément primordial de la cellule vivante qu’il dénomma « microzyma ». Il démontra que celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus et en déduisit le « polymorphisme bactérien ». Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine vers la phobie du microbe et la négligence du terrain.
  • Jules Tissot, professeur de physiologie générale au Museum d’Histoire naturelle, qui confirma les thèses du précédent et en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus. Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens.
  • René Quinton, scientifique autodidacte, qui découvrit la similitude de notre milieu intérieur et de l’eau de mer. Il acquit en 1906 une célébrité mondiale en sauvant, par l’injection d’eau de mer isotonique, des milliers d’enfants atteints du choléra et il démontra que la transfusion d’eau de mer pouvait remplacer la transfusion de sang. Salué au début du XXe siècle par la presse américaine comme le « Darwin Français », il a été totalement effacé de notre culture.
  • Marcel Ferru, professeur de sciences fondamentales, titulaire de la chaire de clinique médicale infantile à l’École de Médecine de Poitiers, qui démontra l’inefficacité et la nocivité du vaccin antituberculeux BCG. Il lutta énergiquement mais sans succès contre son obligation légale adoptée en 1958. ( La France est le seul pays d’Europe où ce vaccin nocif est encore obligatoire. )

  • Edgard Nazare, ingénieur d’aéronautique, qui inventa la « centrale aérothermique » constituée d’une tour à vortex capable de créer un cyclone artificiel permanent et produisant une énergie gratuite et non polluante dérivant directement du rayonnement solaire. Il ne parvint jamais à faire expérimenter son invention « gênante » par l’EDF et les pouvoirs publics acquis au nucléaire. Toutes ses autres inventions furent également occultées.
  • Marcel Macaire, docteur ès-sciences, qui parvint à résoudre les équations posées par Einstein, mit en évidence l’auto-confinement de l’énergie ( qui confirme l’identité de la matière et de l’énergie ), expliqua la distribution ordonnée de tous les corps célestes et montra que l’effet Doppler ne s’applique pas au photon et que, par voie de conséquence, le dogme de l’expansion de l’univers est erroné. Ses thèses n’ont toujours pas été acceptées par le monde scientifique.
  • René Jacquier, ingénieur chimiste, qui élucida, en 1947, le processus thérapeutique du « voyage en avion » contre la coqueluche, ce qui lui permit d’inventer un procédé catalytique d’oxygénothérapie efficace contre de nombreuses maladies, notamment cardio-vasculaires. Il établit également l’efficacité de l’oxygénation en traitement anti-cancéreux tant préventif que curatif. Sa thèse ne fut jamais reconnue, ni même examinée, par les Académies des sciences et de médecine.
  • Antoine Priore, ingénieur électronicien, qui construisit en 1950 une machine rayonnant des champs électriques et électromagnétiques détruisant les tumeurs et les cellules cancéreuses. Malgré les preuves incontestables de son efficacité et le soutien de professeurs d’université bordelais ainsi que de JacquesChaban-Delmas, son appareil, avec lequel il guérit clandestinement de nombreux malades, ne fut jamais agréé par les cancérologues parisiens.Jean Solomidès, docteur en médecine, licencié ès-sciences, diplômé de bactériologie, chercheur à l’Institut Pasteur durant huit ans, qui inventa les « physiatrons synthétiques » destructeurs des cellules cancéreuses. Chassé de l’Institut, il ouvrit son propre laboratoire et guérit de nombreux cancéreux. L’Ordre des médecins le poursuivit pour « exercice illégal de la médecine » car il était médecin de l’Université ( non de la Faculté ), et ne pouvait donc être inscrit à l’ordre pour exercer, bien qu’ayant toutes les compétences requises.
  • Mirko Beljanski, docteur ès-sciences, chercheur en biologie moléculaire à l’Institut Pasteur pendant trente ans, puis en Faculté de pharmacie dix ans, qui inventa des produits efficaces contre le cancer ( utilisés avec profit par François Mitterrand ) ainsi que contre le sida. Il créa son propre laboratoire et put guérir de nombreux malades. Sur plainte de l’ordre des pharmaciens, il fut arrêté, menottes aux mains, à l’âge de 73 ans, puis persécuté judiciairement jusqu’à ce que mort s’ensuive.
  • Loic Le Ribault, docteur ès-sciences, inventeur de l’exoscopie ( technique d’analyse au microscope électronique à balayage ), ancien expert en microanalyse près la Cour d’Appel de Bordeaux, rénovateur de la police scientifique française et créateur du G5, efficace en thérapie contre de nombreuses maladies, qu’il ne put jamais faire agréer en France ( mais qui l’est dans le Commonwealth ). Poursuivi par l’ordre des médecins, il fut emprisonné durant deux mois.
  • Nikola Tesla – Ingénieur américain, pionnier du courant alternatif, découvrit le moyen d’utiliser la croûte terrestre pour produire de l’électricité en quantité illimitée.
  • Linus Pauling – Biochimiste américain, deux fois Prix Nobel, démontra que la vitamine C à très haute dose pouvait prévenir le cancer.
  • André Gernez – Ancien médecin-chef à l’hôpital de Roubaix, découvrit qu’on pouvait prévenir le cancer par des prises périodiques d’un sédatif pour nourrissons.
  • Gaston Naessens – Biologiste français, découvrit les « somatides » et inventa un anticancéreux efficace. Condamné en France il s’exila au Québec.
  • David Rees-Evans – Guérisseur gallois, parvenait à détruire les tumeurs avec des cataplasmes de plantes.
  • Jean-Pierre Maschi – Médecin niçois, découvrit la « pollution électrique » et l’identifia comme cause principale de la sclérose en plaques.
  • Paul Thépenier – Ingénieur pétrolier, parvint à guérir des tuberculoses et des cancers grâce à des moisissures de pétrole.
  • Pierre Delbet – Grand chirurgien français, il démontra à quel point le magnésium est indispensable à notre santé et que toute carence de cet élément ouvre la porte aux troubles du métabolisme, puis à diverses pathologies et enfin au cancer.
  • Auguste Lumière – Co-inventeur du cinéma, consacra la fin de sa vie à des innovations thérapeutiques et fut l’auteur de 20 ouvrages médicaux tombés dans l’oubli.
  • Norbert Duffaut – Chimiste français, réalisa en 1957 la première molécule de silicium organique, puissant régénérateur cellulaire efficace contre le cancer.
  • Jacques Benveniste – Directeur de recherche à l’INSERM, il découvrit en 1984 la « mémoire de l’eau », apportant l’explication et la preuve de l’efficacité des dilutions homéopathiques.
  • Louis Kervran – Biologiste français, découvrit et démontra vers 1960 la réalité des transmutations biologiques, toujours niée par les Officiels.
  • Georges LAKHOVSKY – Ingénieur russe émigré en France, inventeur d’un tire-fond révolutionnaire ( vis qui fixe les rails de chemin de fer ) ayant amélioré la sécurité des trains. Il créa en 1923 son premier appareil émetteur à usage thérapeutique, l’oscillateur à ondes multiples, qui put guérir de nombreux cancéreux. La médecine officielle refusa de reconnaître la valeur de l’appareil, malgré les multiples témoignages de praticiens de tous pays qui l’utilisèrent avec succès.
  • Royal Raymond RIFE – Ingénieur américain, qui mènera aux USA des travaux analogues à ceux de Lakhovsky et construira des appareils également efficaces. Il fut le premier chercheur à identifier et photographier au microscope le bacille de la tuberculose. Ayant refusé de se plier aux exigences du dirigeant corrompu d’une grande association médicale, il sera traîné en justice et complètement ruiné. Malgré une reconnaissance tardive, il terminera sa vie dans une misère totale.
  • Jean BERTIN – Ingénieur français, inventeur de l’Aérotrain, le premier train à grande vitesse se déplaçant sur coussin d’air et qui atteignit la vitesse record de 440 km/heure. Bien que soutenu par de nombreux ministres, mais contré par les dirigeants de la SNCF, son train performant ne sera jamais agréé, malgré des coûts d’installation et d’exploitation très inférieurs à ceux du TGV lancé ensuite.
  • Alexandre SALMANOFF – Prestigieux docteur russe ( diplômé des Facultés de Moscou, de Berlin et de Pavie ) qui fut chargé durant la révolution d’organiser la lutte contre la tuberculose et de réorganiser les stations thermales sur l’ensemble du territoire russe et devint le médecin particulier de Lénine. Non communiste, il émigra en France en 1922, où il élabora une méthode complète de médecine naturelle que le corps médical refusa d’examiner.

Source, suite de la liste, présentation et références des livres « Savants maudits, chercheurs exclus » sur actuwiki.fr


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