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La pyramide de Khéops, un message aux générations futures...

Publié le 03 septembre 2013 par Philippejandrok

Pyramide de Giseh,Sphynx,Egypte,CNRS,ArchéologieA plusieurs reprises, j’ai exprimé mon point de vue sur un détail qui me semblait ne jamais être traité par l’histoire, en effet, les anthropologues et les archéologues ont décidé que l’homme vivait sur la terre depuis près de 6 millions d’années et que l’homme civilisé s’est développé entre - 6 000 et – 10 000 ans, la date n’étant pas exhaustive, mais le principe l’était, à savoir que l’homme issu des cavernes construisait progressivement son habitat en dur avec le développement de l’agriculture. 

Pourtant, concomitamment à ces périodes des constructions en dur à travers le monde existaient peut-être depuis bien plus longtemps, mais quels hommes avaient fabriqué de tels constructions à des périodes où d’autres hommes vivaient encore dans les cavernes ?

Personne n’explique cette réalité et à vrai dire, personne ne s’est donné la peine dans le monde scientifique de tenter de comprendre ou même de savoir.

Le fait est que les religions ont un pouvoir sur ce monde et sur les hommes et que, s’il y a une chose que la croyance religieuse a en horreur, c’est la science qui remet en cause les fondements même de l’histoire religieuse, et donc, la chronologie qu’elle nous impose.

La croyance religieuse est un bien culturel qui s’inscrit dès la naissance de l’homme. L’homme est immédiatement impliqué et signe avec Dieu une alliance dans la circoncision chez les hébreux et les musulmans et par le baptême chez les chrétiens, l’homme est donc prisonnier d’une croyance avec laquelle il grandit dès ses premières heures de vie sur la terre, il ne peut pas y échapper. Cette même croyance dirige sa vie, il ne peut s’en défaire, elle grandit en lui comme une certitude absolue, et d’autres humains font en sorte qu’elle ne le quitte jamais afin de l’utiliser pour contrôler ses actions en faveur de cette croyance, et cela concerne toutes les religions du livre. Cela étant dit, tentons de comprendre et d’expliquer pourquoi nos bâtisseurs nous ont laissé des secrets inscrits dans la pierre pour l’éternité.

Dans le documentaire que vous vous pouvez visionner ici : 


Le secret caché des pyramides d'Égypte révélé par Spi0nhttp://dai.ly/xw74hk

nous suivons l’enquête remarquable d’un homme, d’une femme, car la voix off est celle d’une femme, qui s’interroge, qui se pose des questions sur le rôle, la fonction, la construction et le sens véritable du plateau de Gizeh en Egypte et surtout de la Grande Pyramide de Khéops.

Nous découvrons cette enquête et ses révélations surprenantes, nous découvrons également l’obscurantisme de certains archéologues français, leur esprit fermé, obtus, le sarcasme face à de nouvelles découvertes qui, comme elles ne sont pas les leurs, sont évidemment fausses, nous assistons au ridicule d’un architecte archéologue chercheur au CNRS, et constatons avec horreur sa totale ignorance de la réalité scientifique, pire, son négativisme face à une réalité qui lui échappe depuis des années de pseudo recherches.

Comment un membre d’une telle institution peut-il être aussi incompétent en la matière, une matière pour laquelle il a le titre et la fonction de chercheur ?

Notre enquêteur pose des questions qui dérangent, des questions qui le font passer pour un imbécile auprès des archéologues, pourtant, quand ces mêmes questions sont posées à des mathématiciens, des architectes mondialement reconnus, des ingénieurs, soudain les questions ne sont pas idiotes, mais les réponses des archéologues le sont complètement, car ce ne sont que des vues de l’esprit qui n’ont rien à voir avec la pratique de la construction et sa logique de fonctionnement.

Ce documentaire nous montre que l’archéologie qui est une science récente, n’en n'est justement pas une et comme la psychologie, celle-ci se livre à des suppositions et à des fausses vérités parfaitement incohérentes par rapport à une logique scientifique. Pour notre archéologue du CNRS, le fait que le nombre Pi et le Nombre d’or soient les constituantes mathématiques de la Grande Pyramide de Khéops est un hasard, le fait que la grande chambre mortuaire fasse partie intégrante de ce calcul exceptionnel est encore un hasard, le fait que la taille de pyramide, socle hauteur, circonférence soit encore un ensemble de PI et du nombre d’or, toujours un hasard, or, la même question posée à un architecte mathématicien obtient la réponse suivante :

- « …du point de vue de la simple probabilité, il est impossible que cette constituante mathématique soit le fruit du hasard. »

Pour notre brillant chercheur du CNRS, ces résultats mathématiques sont à comparer à « une brosse à dent ou à un tabouret de cuisine » il affirme fièrement avec une arrogance et une suffisance insupportable, que l’on trouve le nombre d’or partout et n’importe comment, sauf que dans la Pyramide de Khéops, rien n’est le fruit du hasard, rien n’appartient au n’importe comment, et les architectes et ingénieurs, grands bâtisseurs du monde moderne infirment le négationnisme de ce chercheur qui passe pour un ignorant si ce n’est pire.

Ce négationnisme, on le retrouve partout aujourd’hui, dans la médecine allopathique qui ridiculise les soins naturels, dans l’éducation, avec un enseignement de l’histoire des hommes complètement farfelu et bien loin de la réalité historique sur de nombreuses périodes, en archéologie, et c’est bien la pire des disciplines car dès qu’un archéologue émet une hypothèse qui sort des sentiers battus, rabattus par des obscurantistes, celui-ci est privé de crédits et ne peut plus faire ses recherches et pas seulement en France, mais aux USA également.

L’archéologie ne doit en aucun cas être dissociée de la croyance religieuse actuelle, ce qui l’empêche de progresser et d’évoluer, car on refuse l’idée de progrès dans le passé, il faut pouvoir contrôler le présent et ne pas semer le doute dans l'esprit d'une population contemporaine. Imaginez, si l’on affirmait par des preuves archéologiques que nos histoires de religions n’ont aucune raison d’être ?

Or, une chose est certaine, la Pyramide de Khéops n’a rien à voir avec les dieux, c’est un message qui nous est offert par les anciens hommes, ceux qui avaient des connaissances et qui vivaient dans une société autrement plus élaborée que la notre et ce, rien que dans le domaine de la construction. Les archéologues prétendent naïvement que la pyramide aurait été construite à l’aide d’outils tels que le burin en cuivre et une masse en pierre, sans manche, en guise de marteau, les assemblages de pierres à l’intérieur sont si précis qu’il est absolument impossible de glisser une lame de rasoir entre les sections.

En aparté, je sculpte et découpe la pierre avec des machines électriques, il est impossible d’obtenir cette précision à la main, il faut des ordinateurs pour être aussi précis tant pour la coupe que pour l’assemblage, alors un burin de cuivre et une masse en granite ? Impossible.

Selon notre génie du CNRS qui n’a certainement jamais travaillé de ses mains :

-   « il faut savoir que ces gens travaillaient très lentement… » ce qui expliquerait la précision sur le granite.

Comment expliquer que la pyramide n’ait pris que 20 ans, selon les archéologues, soit un bloc de plusieurs tonnes assemblé toute les deux minutes ? « … en travaillant lentement » ???? C’est, pardonnez-moi, complètement incohérent, voire impossible, pourtant, toujours selon les archéologues ce sont les seuls outils dont ils disposaient à l’époque et comment expliquer que ces blocs aient été amené d’une carrière à plus de 900 km de la pyramide ? Alors que les égyptiens ne connaissaient pas la roue ?

Passons sur les détails de l’impossibilité de la part des archéologues d’expliquer le pourquoi du comment, ceux-ci sont friands de petits dessins qui n’ont aucun sens scientifique mais qui les satisfont ainsi que les enfants qui croient tout ce qu’on leur fait avaler.

Aucun archéologue ne dit que la pyramide du Khéops a été construite sur le socle d’une colline rasée, que sur ce socle des pierres taillées ont été déposées pour faire un nouveau socle et permettre une assise de la construction exceptionnelle. Rares sont les archéologues qui notent un point important, la pyramide a en effet 8 faces et non 4, notre Génie du CNRS prétend qu’il s’agit d’une erreur de construction, les ingénieurs et architectes interrogés affirment qu’aucune erreur n’est possible à ce stade de construction et que si cela avait été une erreur tout se serait effondré à l’intérieur de la Pyramide, ce sont les lois de la mathématique et de la physique qui parlent, non celles d’un archéologue du CNRS. Au solstice d’été, une ombre portée tout à fait particulière se dresse sur le sable, donc cette construction est en rapport avec les étoiles et les cycles de la terre et du soleil.

Sortons de l’archéologie un moment pour nous plonger dans l’astronomie, toutes les société anciennes étaient passionnés par les astres et ce n’était certainement pas un hasard, les Egyptiens avaient une connaissance approfondie du ciel et du cosmos comme les Incas, les archéologues affirment qu’il n’y avait aucun rapport entre les deux peuples, et pourtant les pierres parlent d’elles-mêmes car les moyens de construction et d’assemblage sont les mêmes tout autour de la planète, en plus situé sur le même axe, sur une même ligne allant du plateau de Gizeh jusqu’à l’Ile de Pâque « le nombril du monde » à travers les continents et les mers.

Les archéologues du CNRS prétendent également que le Sphynx n’a aucun rapport avec la pyramide, pourtant, les mathématiques nous indiquent le contraire, à nouveau l’obscurantisme et l’ignorance d’une pseudo science limite le champ de recherche, il clôt le champ des recherches pour figer une vérité qui n’en n’est pas une.

Je pourrais développer encore longtemps sur le fait que nos chercheurs, ceux que nos impôts subventionnent ne font pas leur travail ou le font mal en publiant des recherches farfelues qui refusent de prendre en compte des données scientifiques, astronomiques, historiques, globales, mais je préfère vous laisser découvrir la conclusion remarquable de ce documentaire qui mérite de faire partie de votre vidéothèque tellement les révélations sont importantes et essentielles pour comprendre que nous vivons sur un astre dépendant des événements cosmiques et que nous sommes peu de choses après tout, et si nos ancêtres ont disparu en nous laissant cette trace exceptionnelle qu’est le plateau de Giseh, c’est pour nous prévenir de ce qui leur est arrivé et de ce qui risque de nous arriver également, car c'est inévitable, nous vivons sur une planète qui vit elle-même au coeur d'un ensemble cosmique qui agit et inter agit sur notre astre, et aucun dieu ne peut contrôler, ni empêcher le cycle des planètes et du soleil, ni leur influence.

Quand je regarde de telles œuvres, alors oui, je vis dans une époque formidable, mais lorsque j'entends des archéologues dire n'importe quoi pour satisfaire leur Ego, alors je vis dans une époque formidable...


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