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Why did it work? Kiss kiss bang bang

Publié le 03 septembre 2013 par Bigreblog

Hello les ptits lecteurs qui passeraient par ici!

Parce que je l’ai revu récemment, le film Kiss kiss bang bang m’a fait comme l’effet d’une bombe! Lui aussi, au même titre que nombre de films de cinéma dit "d’auteur", vaut vraiment le détour.

Alors, penchons-nous sur le sujet. C’est promis, pour tous ceux qui ne le connaissent pas, je ne spoilerai rien.

;)
Surtout que vous devez être nombreux…
:D

1. Un film qui n’entre dans aucun genre

A aucun moment dans Kiss kiss bang bang, on ne sait vraiment dans quel genre il se place. Il y a des éléments indéniables de la parodie, mais aussi du film policier et de la comédie romantique. Alors, c’est très bizarre, où le placer?

C’est l’une de ses forces, je pense, de n’entrer dans aucun moule. Et ça empêche de s’embêter.

;)

2. Un scénario écrit sous influence

Je ne sais pas ce que Shane Black avait fumé le jour où il a décidé d’écrire le scénar, mais une chose est sûre: ce jour-là, il nous a offert une perle rare de n’importe quoi. Il y avait autrefois les mineurs Austin Powers et autres Scary Movie, désormais, il faudra jouer avec Kiss kiss bang bang!

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3. Des acteurs qui ne se prennent pas au sérieux

Val Kilmer en tête, les trois acteurs principaux ne se prennent vraiment pas au sérieux, mais alors là vraiment pas. Mais on ne tombe jamais dans la blague graveleuse.

Le suscité Val Kilmer, connu pour avoir incarné Batman, Simon "le Saint" Templar ou encore Philippe II de Macédoine, joue ici un détective privé gay, et qui le revendique assez souvent d’ailleurs.

Robert Downey jr, que ce film sort du caniveau de la drogue, d’ailleurs, prenons soin de le rappeler, incarne un voleur embarqué malgré lui dans des histoires invraisemblables, un vrai boulet.

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Et Michelle Monaghan, elle, interprète le quota féminin à elle toute seule, endossant les rôles de petite amie potentielle, de potiche juste bonne à enfiler des mini-jupes, et de détective en herbe. Rien à voir avec la greluche de base, croyez-moi.

4. Un traitement sérieux de la mort et du meurtre

Ça aussi c’est un point fort. Lorsque les personnages doivent défendre leur vie et donc tuer des vies, on ne voit pas du "bah voilà, j’ai tiré sur la gâchette, c’est fini", mais bien du "bon sang, j’ai tué une personne, une personne, c’est grave!", ce qui en fait un film à message, quand même.



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