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Les drones, l’objet volant au-dessus de nos têtes

Publié le 15 septembre 2013 par Plcom @TousLesLoisirs

Parot SA vient de commercialiser son AR.Drone, ce qui veut dire que l’accès à ce beau “joujou” n’est plus réservé aux commandos du Pentagone.

Drone et AR.Drone

Le drone, même au niveau de l’appellation, pose problème. Anglophones et francophones ne parlent pas d’une même chose. Les francophones se bornent sur le mot « drone » qui désigne un robot capable de déplacer de manière autonome sur une surface, sur terre ou en milieu marin. Le terme évoque également une partie du système de drones comme les vecteurs aériens. Les Américains restent plutôt très pragmatiques et précis quant aux noms de ses mobiles autonomes sans pilote et se basent sur les déclinaisons de sigles, UAV/UAS, USV/USS, etc. UAV signifie Unmanned Air Vehicle et UAS, Unmanned Aircraft System. Les drones de combat ou UCAV (Unmanned Combat Air Vehicle) est le plus célèbre de tous.
À la différence de cet appareil très sophistiqué et mythique, l’AR. Drone est un hélicoptère avec 4 rotors facile à piloter. Une fois lié avec un appareil muni d’un système iOS (iPhone), Android ou Symbian, grâce au Wifi, il se laisse manipuler comme un jouet.

Parrot innove avec l’AR.Drone

Parrot, société française spécialiste des équipements Bluetooth, a présenté son drone pour tout public en 2010. Puis, il est passé à sa commercialisation.
Conçu pour le divertissement, l’AR.Drone se livre avec des éléments sophistiqués : des caméras, un accéléromètre, des émetteurs récepteurs à ultrasons, des gyroscopes, et moult capteurs.
La deuxième version de l’appareil est munie d’un processeur ARM Cortex A8 Cadencé à 1 GHz, d’une caméra HD 720P et d’un système de liaison Wifi N, bref, une nette amélioration quant à la stabilité, la puissance et la forme du drone.


La démocratisation du drone

Si le drone était auparavant un objet spécifique aux militaires, il est de nos jours devenu un objet facilement accessible. Particuliers comme professionnels peuvent en faire usage à leur guise. Certains tirent profit par sa maniabilité aux jeux, d’autres en font usage pour de meilleures prises de vue vidéo. Pour quelques trois cents euros, il est possible de se procurer un drone de deuxième version sur les sites de vente en ligne.

Drone, des pour et des contres

Certains organismes montent le ton au sujet de cet engin volant maniable à distance. Pour eux, le risque d’entrave à la vie privée est élevé à l’issue de la démocratisation des drones. Tellement les équipements pouvant être installés avec ce dispositif sont multiples qu’il sera difficile de les réguler. Les bras de fer se concentrent donc sur la régulation de son usage. De l’autre côté, plus d’un commencent à apprécier “ce joujou”, pour sa praticité et pour les intérêts, particulier et général, qu’il procure.
Cette fois encore, la question d’éthique reste encore de mise.


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