Twitter, Facebook, Google+, tout le monde à compris l’intérêt des réseaux sociaux afin de développer son activité et son carnet d’adresse, mais c’est aussi une façon de se faire de la pub pour pas un rond, avec juste un ordinateur et une connexion internet. Mais là encore, faut pouvoir éviter de mettre n’importe qui derrière l’ordi. Et l’organisme de Pôle Emploi (organisme gouvernemental gérant les chômeurs et l’aide à la recherche du travail) l’a appris à ses dépends en juillet dernier!
Alors, quand le sondage Harris Interactive (l’un des sondages les plus connus du web) annonce le site de Pole Emploi comme le site le plus consulté des français, forcément, le petit webmaster derrière l’écran de son pc ne peut s’empêcher de sauter de joie et de tweeter:
Bien sûr, ce malheureux tweet trouve écho sur le réseau social et un tollé de moqueries s’élève dans les chaumières : la boulette est dite, impossible de revenir en arrière!
Voilà. 2e boulette. Soit le mec qui gère le tweeter officiel de pole emploi est complètement noeudnoeud, soit il en fait exprès. Il est persuadé que les moqueries proférées à son égard sont faites car le site rencontre quelques difficultés passagères pour la connexion des usagers à leurs comptes. Bien sûr, le vrai problème vient du fait que le site Pôle Emploi se vante d’être le site le plus consulté des français, résultant certainement d’un profond malaise en France.
Les internautes ont de l’humour et vont faire comprendre à Pole Emploi l’ampleur de sa stupidité en tournant le tweet d’origine à la dérision:
Comprenant enfin la boulette qui avait été faite par le « stagiaire », Pôle Emploi répond enfin par un tweet un peu plus approprié face à la situation grave que doit affronter la France sur son taux de chomage:
Par contre on sait maintenant qui va devoir se pointer à Pôle Emploi après un licenciement pour faute grave!