La journée sans voiture à Bruxelles sert malheureusement à stigmatiser les automobilistes et à restreindre droits et libertés.
Par Patrick Smets, depuis Bruxelles, Belgique.

De manière plus générale, le Parti Libertarien dénonce la politique bruxelloise des transports, qui vise à restreindre, par des "mesures coercitives", c'est-à-dire des taxes et des chicanes, la liberté la plus élémentaire, celle d'aller et de venir. Cette politique a pour but de diminuer et non d'améliorer la mobilité. Il faut lui substituer une politique résolument axée sur l'efficacité du réseau de circulation en faveur de tous ses utilisateurs, en ce compris les automobilistes, qui ne sont pas des criminels. Il faut également libéraliser l'offre privée de transports, collectifs ou non, de manière à la faire correspondre à la demande réelle de la population.
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