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Je rêve d’un monde

Publié le 12 février 2013 par Marieeveboudreault

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“Le capitalisme ne fonctionne pas.” Photos qui ont aidé à expliquer à mon fils de 4 ans que nous devons partager les richesses équitablement. Il comprend déjà, à cet âge, qu’on doit le faire-ou peut être refusons-nous de le réaliser en vieillissant.

“Si nos pauvres meurent de faim, ce n’est pas parce que Dieu ne se soucie pas d’eux. C’est plutôt parce que ni vous ni moi ne sommes assez généreux. C’est parce que nous ne sommes pas des instruments d’amour dans les mains de Dieu. Nous ne reconnaissons pas le Christ quand une fois de plus, il apparaît dans l’homme affamé, dans la femme seule, chez l’enfant qui est à la recherche d’un endroit pour se réchauffer. ” (Note: si vous le souhaitez, remplacer Dieu par ce que vous savez qui est vrai.)

“Tout le monde aujourd’hui semble être dans une telle précipitation terrible, soucieux de plus grands développements et de plus grandes richesses et ainsi de suite, de sorte que les enfants ont très peu de temps pour leurs parents. Les parents ont très peu de temps l’un pour l’autre, et dans la maison commence la rupture de la paix du monde. ”

“Être indésirable, mal aimé, délaissé, oublié par tout le monde, je pense que c’est une faim plus grande, une pauvreté beaucoup plus élevée que celui qui n’a rien à manger.”

-Mère Teresa

La réalité me satisfait.  Je sais que la réalité n’est pas ce qu’elle paraît, qu’elle est une illusion qui laisse difficilement transparaître ce que la spiritualité et la science concordent-qu’on ne fait qu’un avec le tout et qu’il y a beaucoup d’amour partout. Je me suis recréée une réalité qui reflète ces faits, un microcosme douillet avec ma famille.

Je rêve quand même d’une meilleure réalité. Je rêve d’un monde où tous ont de quoi se nourrir la panse et la pensée. Les besoins de base sont comblés, sans retenue. En un moment de totale prise en charge, la société a demandé des comptes aux imposteurs. L’autoproclamée élite, le gouvernement de style totalitaire et les intérêts de corporations qui régissaient notre vie d’antan se sont effacés; la justice a fait payé réparation pour leurs crimes contre l’humanité-l’argent ainsi recueillie a servi à instaurer la base de notre utopie.

L’amour, l’égalité et la paix règnent en absolus. La guerre n’existe plus-il faut même en expliquer le concept aux enfants qui ont de la misère à la concevoir. Les gens ont réglés leurs conflits dans leurs maisons, puis leurs clans. La famille et la communauté sont à l’honneur. Il est normal pour un parent d’élever lui-même son enfant et de lui proposer une éducation utile libre d’autorité. Il ne nous vient pas à l’esprit de refiler son éducation à un inconnu qui l’aime ou le respecte peu, ou de le laisser à lui-même avant qu’il ne soit prêt.

La santé est primordiale, et commence avec des saines habitudes de vie. Les intérêts du peuple priment sur celles des corporations. On ne nous cache pas la vérité-la vérité est traitée comme une sainteté. Donc dans cette réalité, la vaccination avec métaux lourds, la malbouffe ou les prescriptions compulsives sont évitées; nous allons à la source des problèmes. Le manque d’écoute, d’amour, de présence active, de réalisation sont résolus.

De quelle manière? Chaque individu compte et a un réseau affectif où tous prennent le temps de se rencontrer quotidiennement. Chaque individu est responsable de sa vie le plus tôt possible et la traite avec respect, s’assurant de répondre à tous ses besoins de manière adéquate. Le travail est balancé avec la vie personnelle et collective, contrairement à notre réalité actuelle, et il n’occupe notre vie qu’à temps partiel. Nous avons enfin compris son importance; il n’est pas tout dans la vie. De cette redéfinition de nos valeurs et priorités est rendue réelle notre utopie.

Nous avons retrouvé la joie de vivre simplement, de suivre nos passions, heureux, dans la modernité. La surconsommation est partie d’elle-même, car non respectueuse de notre milieu de vie sain. De même pour les défauts de caractère comme l’avarice et le narcissisme, de par notre vie harmonieuse. Tous sont reconnus, petits organismes comme les grands, et traités avec révérence et respect pour leur rôle dans le macrocosme. Chacun se contente d’un minimum de matériel mais accède à un style de vie riche de possibilités. Chacun a un rôle utile et utilise ses talents pour le bien de tous.

La société est autogérée. Chacun est libre, sans empiéter sur la liberté d’autrui, et peut faire valoir son opinion de manière effective; le droit de décision s’exerce en temps réel avec la technologie, et non plus seulement aux 4 ans. Les représentants sont transparents, et nous avons trouvé le moyen d’implémenter les changements votés directement.

Cette image d’une meilleure réalité est loin d’être complète, mais elle est une base sûre. À chacun d’ajouter son morceau de bonheur manquant.

Nous pouvons seulement en rêver. Mais proposons plutôt d’y arriver. D’abord en faisant les changements nécessaires dans notre vie personnelle, tout en partageant nos trouvailles avec autrui (en discussion ou sur les médias sociaux; ici les pages Facebook Design de vie et Nouvelles indépendantes-Citoyens éveillés, et Design de vie sur Twitter); en se changeant soi-même, pour voir reflétées dans le monde nos transformations. Car nous ne faisons qu’un.

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