La fête « no limit » fait polémique

C’est quoi la fête « no limit »

C’est une soirée étudiante qui se déroulera à Toulouse le 19 octobre 2013 et qui durera 10 heures dans le genre « Spring Breaks Américains »

Une fête très originale

La fête « no limit » ne risque pas de passer inaperçue et le programme est riche et varié avec des miss aux seins nus, strip-poker et douche sex.

Il faut dire que les affiches publicitaires ne laissent personne insensible. Elles se trouvent partout et sur tous les murs toulousains. Les flyers sont postés à qui veut et ornent les pare-brises des véhicules.

La soirée serait organisée par BetaEvents et ce serait la boite de nuit Studio One qui fournira l’espace. L’entrée est payante et fixée à 12 euros avec une consommation offerte. Pour le reste, il faut savoir que le verre d’alcool coûte 8 euros.

Les bureaux des élèves relayent l’information dans les universités toulousaines et il faut dire que les précédentes éditions ont ameutées les masses et la dernière en date qui a eu lieu le 31/08/2013 a comptabilisé la participation de 2000 jeunes

Une fête sans limite

Le principe est de vivre une nuit comme celles des confréries américaines où il faut braver tous les interdits. Tout le monde est en mode campus US et fait allusion à la semaine de la relâche étudiante.

Mix-Cités et Solidaires-Etudiants sont contre

Mix-cités et Solidaires –étudiants pensent que la fête se base sur une intégration machiste et violente car celui qui n’a pas envie d’y participer se sentira obligé rien que par le désir d’appartenir à un groupe, une communauté. Par ailleurs, cette fête, vue par Solidaires-étudiants, banalise les agressions sexuelles.

Toutefois BetaEvents assure que ce sont que les mots qui flashent et qu’il n’y aurait aucun débordement et que personne ne peut être obligé à y assister sauf si c’est de son plein gré.