Gérer le burn out…

Publié le 31 octobre 2013 par Journalmd @journalmd

Alors que les enfants grandissent, que le travail des instruments diminue, c’est Petit mari qui laisse libre cours à ses passions… Après la guitare, il y a maintenant la batterie (depuis un an) et le piano depuis un mois. Comme dit souvent mon amie V., sa crise de la quarantaine, c’est une crise d’adolescence à retardement !

Alors qu’il était en burn out il y a 2 ans, aujourd’hui on le sent revivre. Même si en famille, çà nous a coûté énormément au niveau relationnel, il est indéniable que s’investir dans des activités musicales et avoir SA pièce l’ont aidé à prendre de la distance avec le stress dû au travail et il relativise. En clair, la possibilité de s’isoler après une journée en open space, faire ce qu’il aime lui permet d’aller mieux ! Les symptômes physiques ont grandement diminués, voire disparus. Il a suivi des formations en gestion du stress et fait des formations complémentaires à ses fonctions qui lui ont permis de rencontrer d’autres gens, de connaître d’autres métiers au sein de son entreprise et de lever la tête du guidon. Il gère seul ses traitements antihypertenseur et anti migraineux. Il va aussi chez le kiné régulièrement.

Donc chez nous, il y a équipement et équipement…

Petit mari a une batterie électronique pendant que je ressors et lustre mes bottes de pluie. Chacun ses besoins en fonction de ses activités ! Cette année, je n’aurai besoin que d’une nouvelle paire de running pour la course à pied, tandis qu’on continue dans l’achat de livres de méthodes, de livres de solfège et de partitions. Et je n’oublie surtout pas de fermer la porte de sa pièce pour ne pas être dérangée par le bruit ! Un peu comme un ado dans le garage des parents…

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