Président de la Halde et président du conseil de surveillance du Monde, Louis Schweitzer a déclaré hier :
"Si le Monde ne rétablit pas son équilibre, il condamne son indépendance [un plan social] ça doit toujours être quelque chose qu’on décide en dernier recours mais là je crois qu’il faut le faire".
L’assemblée générale intersyndicale a répliqué :
"Nous nous étonnons, que vous, président de la Halde, vous ne fassiez pas la différence entre un plan de départs volontaires - revendication de notre intersyndicale - et un plan de départs contraints, comportant, obligatoirement, des critères de licenciements discriminatoires (âge, ancienneté, «adaptabilité», situation de famille, etc.)."
Cette lettre a été remise à la Halde, où Louis Schweitzer ne se trouvait pas.
Rappelons qu'en matière de discrimination, Louis Schweitzer n'est pas un nouveau venu.
LES COMMENTAIRES (2)
posté le 05 février à 01:12
àn quoi sert la "halde"? aujourd'hui ,malgré des études longues qui nous mettent tard sur le marché du travail,on ne trouve que des employeurs "jeunes loups" qui discriminent par l'age / presque toutes les associations de volontariat (on demande des moins de 30,voir 26 ans!°) il ne faudrait pas confondre agir et faire la fete! idem dans certaines boite d'interim ! ou alors les employeurs jaugent sur la promotion"horizontale "nous prenant pour des filles faciles ou d'eventuels gigolos !c'est scandaleux,coupons des subventions iniques a ces hypocrites!
posté le 05 février à 00:50
pourquoi la discrimination par l'age est elle courante et institutionelle dans les organismes de volontariat ?à quoi servent les diplomes et les etudes longues? ne cherche-t-on que des filles faciles et des gigolos malleables la aussi? la Halde ne fait pas son boulot ,on devrait leur couper les subventions à ces soi disant trucs de bénévolat!