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Critiques Séries : The Goldbergs. Saison 1. Episode 7. Call Me When You Get There.

Publié le 09 novembre 2013 par Delromainzika @cabreakingnews

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The Goldbergs // Saison 1. Episode 7. Call Me When You Get There.


Cet épisode m’a fait plaisir car je me suis un peu amusé. Disons que les personnages étaient bons et à la place qu’il faut. Sans parler du fait que Beverly est toujours un personnage adorable qui sait prendre soin de ses enfants (même un peu trop soin de ses enfants). Cette semaine, Barry va enfin avoir droit à son permis de conduire ce qui veut dire pour lui : la liberté. Enfin, ce n’est pas totalement de la liberté puisque Beverly va être là afin de montrer à son fils qu’il faut faire attention sur la route et ne pas prendre ça à la légère. The Goldbergs tente de faire passer un message au travers de cette morale. Je dois avouer que j’ai bien aimé la morale qui n’était pas pompeuse ou ennuyeuse. Et Beverly ajoute son « Call me when you get there » qui donne son nom à l’épisode. Forcément, Barry va trouver le moyen d’avoir des ennuis en n’écoutant pas sa mère. Et même s’il tente de cacher la vérité, cette dernière se sait toujours (voilà encore un moyen de prouver que The Goldbergs est toujours une série moralisatrice). Mais quand je parle de morale avec cette comédie, je dois avouer que je ne parle pas de quelque chose de mauvais. Certaines comédies peuvent le faire de façon ennuyeuse et d’autre pompeuse mais là non. C’est juste amusant.
Il faut dire que l’ensemble de The Goldbergs est plutôt cocasse et plaisant. Je ne m’ennuie pas tant que devant et c’est quelque chose à quoi je ne m’attendais pas nécessairement en lançant ce nouvel épisode. Disons que depuis deux épisodes la série avait pris le temps de me décevoir et du coup, je m’étais retrouvé avec quelque chose d’assez plat et pas très drôle. Le casting est bon et l’on passe de bons moments avec eux mais il manquait quelque chose, notamment ce qui fait le sel de cette comédie depuis ses débuts. Le côté familial de The Goldbergs est certainement l’un de ses plus gros atouts. Tout le monde dans la famille Goldberg est un peu bête sur les bords, sauf apparemment Adam. Enfin, même si ce dernier tente de démontrer qu’il n’est pas bête, il y a des moments où il se ridiculise en bonne et due forme. Mais c’est un gosse qui doit faire des bêtises pour apprendre (c’est en tout cas la morale que je retiens à chaque fois autour d’Adam). Barry n’est pas mon personnage préféré de The Goldbergs et c’est donc d’autant plus étonnant que j’ai autant apprécié cet épisode. J’ai tout de même trouvé le temps de sourire (même aux élucubrations de Pops).

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Pops. Ce personnage est un atout lui aussi dans The Goldbergs. J’aime bien son côté papi gentil qui ne veut rien faire comme font les parents de ses petits enfants. Il a envie de faire les choses différemment, de façon plus amusante. Notamment quand il s’agit de se retrouver une femme avec qui passer du bon temps. Enfin, la scène finale de l’épisode autour de la télécommande était elle aussi plutôt réussie. C’est tellement bête mais au fond cela correspond parfaitement à Murray. Ce dernier n’a jamais été très futé. Il y a un peu de Homer Simpson chez Murray et pourtant c’est inspiré d’un personnage réel. Finalement, ce nouvel épisode de The Goldbergs a réussi à me délivrer ce que j’attends de la part de la série et même un peu plus encore. Wendi McLendon-Covey quant à elle est mon actrice préférée dans cette série. Il faut dire qu’elle se donne à fond dans le rôle et l’on croit à tout ce qu’elle peut faire pour le bien de ses enfants. Enfin, en tout cas c’est ce qu’elle pense et j’ai beaucoup de compassion pour ses diverses actions.
Note : 6.5/10. En bref, à mon grand étonnement cet épisode est à mon humble avis l’un des plus réussis de The Goldbergs pour le moment.


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