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Le Japon de Paméla présente: Gochisousan

Publié le 21 novembre 2013 par Jdoramawebzine @jdoramawebzine

Après Jun to ai (純と愛) et le très populaire Ama-chan (あまちゃん), deux histoires contemporaines, NHK renoue avec les asa-dora d’époque avec la diffusion de Gochisōsan (ごちそうさん).

Ce drama, diffusé depuis le 30 septembre, débute en l’an 44 de l’ère Meiji (1911), traverse l’ère Taishō (de 1912 à 1926) pour se terminer quelque part durant l’ère Shōwa (1926-1989), probablement après la Seconde guerre mondiale.

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Uno Meiko, fille de restaurateurs de Tōkyō servant une cuisine française raffinée, adore manger. Alors qu’elle n’est encore qu’une enfant, elle n’hésite pas, avec la complicité de camarades de classe, à dérober des fraises dans un temple bouddhiste. Enchantée par la saveur de ce fruit nouveau, elle ne rêve que d’une chose : en manger de nouveau.

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À cette époque, le restaurant de la famille Uno essuie une critique sévère de la part d’un journaliste. Comme ses camarades de classe se moquent d’elle et du restaurant de ses parents, Meiko décide de les inviter à y manger. Mais les enfants ne sont pas convaincus par une cuisine qu’ils trouvent trop compliquée. C’est alors que Daigo, le père de Meiko, décide de servir aux enfants une cuisine plus simple, mais toujours de style occidental. L’omelette et le riz qu’il sert sont un véritable succès et la joie des enfants est un déclic pour Daigo : désormais, il ne servira qu’une cuisine simple, mais toujours inspirée par l’Occident.

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Peu de temps après, la grand-mère de Meiko tombe malade. Se souvenant qu’elle lui avait promis qu’elles dégusteraient des fraises ensemble, la petite fille se met en quête de ce fruit auquel son aïeule n’a jamais goûté. Après quelques embûches et péripéties, Meiko est en mesure de faire goûter le délicieux fruit à sa grand-mère. C’est la première fois que Meiko offre de la nourriture à quelqu’un, et sa grand-mère lui explique alors la signification du mot « Gochisō » (référence à quelqu’un qui court partout pour chercher les ingrédients qui lui serviront à préparer un repas pour ses invités).

Devenue une belle jeune fille, Meiko n’a rien perdu de son amour pour la nourriture. Avec deux de ses camarades de l’école pour filles qu’elle fréquente, elle va souvent déguster des desserts au Café Hiver. Un jour, Nishikado Yūtarō, jeune étudiant en architecture croisé dans ce café, vient s’installer chez les Uno. La jeune Meiko n’est pas insensible au charme de ce jeune homme mystérieux et sérieux.

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Yūtarō est originaire d’Ōsaka, et les goûts culinaires des gens de cette ville et de ceux de Tōkyō diffèrent par bien des points. Ainsi, comme nombre de ses compatriotes de la région du Kansai, Yūtarō déteste le nattō (fèves de soja fermentées). Meiko se met alors en tête de faire aimer ce plat si particulier au jeune homme, et commence à cuisiner le nattō sous différentes formes, jusqu’à ce qu’elle trouve une recette qu’il accepte de goûter. Heureuse de cette expérience, Meiko commence à préparer des bentō pour Yūtarō et débute la rédaction d’un carnet de cuisine dans lequel elle note toutes ses expériences.

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De plus en plus attirée par Yūtarō, Meiko doit faire face à l’arrivée d’une rivale : la belle et sympathique Akiko, amie d’enfance de Yūtarō. Akiko a perdu ses parents dans le même incendie qui a coûté la vie à la mère de son ami et a décidé de devenir médecin. Face à cette jeune femme admirable, Meiko pense qu’elle n’a aucune chance avec Yūtarō et perd toute sa joie de vivre, alors qu’elle est habituellement très enjouée. La mère de Meiko remarque le changement d’attitude de sa fille et comprend très vite qu’elle est amoureuse de leur pensionnaire. C’est alors qu’une demande de mariage arrangé est proposée à la famille Uno. Malgré son amour pour Yūtarō, Meiko décide de rencontrer son possible futur époux. Cette possibilité de mariage arrangé semble perturber Yūtarō, mais il ne dit rien et ne s’y oppose pas. Le jour de la rencontre, Meiko est mal à l’aise et, avec la complicité de sa mère, elle quitte les lieux pour rejoindre Yūtarō qui participe à une épreuve d’aviron avec des camarades de classe. Là-bas, elle demande au jeune homme de l’épouser, mais celui-ci refuse.

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Le père de Meiko est furieux à cause de la fuite de sa fille, et devient encore plus fâché quand il apprend par sa femme que leur fille est amoureuse de Yūtarō. Mais quand il apprend que le jeune homme a refusé sa fille en mariage, il entre dans une colère noire et lui ordonne de quitter leur maison. Yūtarō s’exécute et part vivre chez un ami écrivain. Soudain, le jeune tombe malade et une forte fièvre le cloue au lit. L’écrivain prévient alors Meiko, qui vient prendre soin de celui dont elle est toujours amoureuse. Au contact de celle qu’il aime, Yūtarō guérit rapidement et lui explique que s’il a refusé de l’épouser, c’est parce que sa famille est compliquée et qu’il ne veut pas l’imposer à Meiko. Mais cette fois, il lui propose de l’épouser, ce que Meiko accepte avec joie.

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Après leur mariage, les deux jeunes gens vont habiter à Ōsaka, dans la famille Nishikado, composée de trois femmes : la belle-mère Shizu, la sœur aînée Kazue et la cadette Noriko. Kazue règne en maître sur la famille Nishikado, et mène la vie dure à Meiko. Elle critique notamment sa cuisine et refuse obstinément de manger ce que sa belle-sœur prépare. La vie est difficile pour Meiko, d’autant plus que son époux est très occupé par son travail et est peu présent. Ce dernier essaie néanmoins de soutenir son épouse autant que possible, et la réconforte en l’invitant à manger à l’extérieur. Un jour, alors qu’elle fait ses courses sur un marché, Meiko croise Genta, un de ses camarades d’école primaire avec qui elle avait dérobé des fraises dans un temple et qui travaille maintenant à Ōsaka.

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