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The Hobbit: extended version

Par Bigreblog

Hello les enfants.

Alors, en cette belle et froide journée de pré-décembre, je me suis offert le Graal.

Le Graal, pour une nerd comme moi, c’est donc la version longue du Hobbit, 5 DVD d’amour.

5 DVD full of love, of Bofur, of Radagast, and of awe-some-ness.

:D

Je vais commencer par parler de ces bonus DVD avant de parler de la version longue en elle-même.

3 heures de bonus juste sur le casting. Plaisir total. Total fangirling. J’aime tous les acteurs à la folie depuis que j’ai regardé ce truc. Mais surtout Aidan Turner (genre c’est compliqué), James Nesbitt (petit con va) et Graham McTavish (un Ecossais qui a la classe et qui me fait peur des fois).

Mais, sérieusement, ces gens sont tous timbrés.

Je m’entendrais bien avec eux, je pense.

;)

Deuxième bonus, 2 heures de making of. Pur plaisir. Genre, juste pur plaisir. Surtout la presque demi-heure consacrée à mon Dieu de la mo cap, ANDY SERKIIIIIIIIS!

:D

Troisième bonus, un DVD qui reprend tous les journaux vidéos faits par Peter Jackson et postés en leur temps sur YouTube. Thanks Pete.

And now, on with the movie.

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S’il y a quelque chose que j’ai appris en voyant les versions longues du Seigneur des Anneaux, c’est que les trois-quarts des scènes coupées au montage auraient juste trop servi le film si elles étaient restées.

Ici, c’est la même chose.

En fait, toutes les scènes qui ont été coupées servaient le film dans le sens où elles permettent de mieux connaitre les personnages, et de les aimer encore plus.

Je vais en zapper certaines, trop courtes ou trop peu signifiantes (c’est rare).

Première scène coupée, petit Bilbo pendant Midsummer’s Eve, tape les bottom de Gandalf avec un bâton. Une scène qui me fait penser à deux jeunes Hobbits prêts à faire que des conneries. Dont un Took, ce qu’est Bilbo à moitié, je vous rappelle.

;)

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Deuxième scène coupée, le même Bilbo va acheter son fameux poisson (le même que Dwalin va gober deux minutes plus tard) et se cache d’un imaginaire Gandalf. Un bon paradoxe, car dans le même temps, le Hobbit est rassuré de ne pas voir le magicien, et est déçu aussi.

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Troisième scène coupée d’importance, Rivendell. Le plus grand nombre de scènes coupées en fait se passent chez les Elfes. Et la première se passe durant le diner. Un, Kili drague des Elfes. Ptit con va. Deux Bofur s’ennuie et grimpe sur un tonneau pour chanter une chanson paillarde pendant que les autres nains balancent de la bouffe partout, sous le regard effaré d’Elrond et Lindir.

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Je vais juste ajouter que Jimmy Nesbitt a lui-même composé la chanson, et c’est vraiment un enfoiré, parce que je suis encore plus amoureuse de Bofur après cette scène. Connard va.

La version longue ayant été découpée en deux DVD, voici que commence le second.

Toujours à Rivendell, Bilbo se promène dans la sublime cité, tombant par hasard sur les restes de Narsil (le premier qui demande ce que c’est, je le bouffe) puis sur Elrond au détour d’un balcon.

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BAM! Scène préférée. Elrond et Bilbo ensemble, cela manquait au film, since dans The Fellowship of the Ring, ils sont amis et se reconnaissent en tant que tels. Donc, un petit dialogue, une bonne blague, un sourire en coin d’Hugo Weaving, et voilà. Amitié réparée. Et crédible.

Dans le même temps, ce pauvre Lindir demande à son maitre si les nains comptent rester longtemps, since ils vident la cuisine à une vitesse alarmante. Then, in the distance, on voit ces mêmes nains, à oualp, profitant d’une fontaine sans aucune pudeur.

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Holy shit.

Toujours à Rivendell, un Conseil Blanc plus long permet de voir que Saruman est vraiment con. "Ah, Thrain avait l’un des Sept et on sait pas où il est passé? Bah, pas grave, de toute façon, Sauron sait rien en faire si il a pas l’Unique." Imbécile en babouches.

Dernière scène d’importance, l’arrivée devant le Roi Gobelin. Ce con est déjà en train de chanter (la vraie chanson du bouquin, au fait) et puis se fait tourner en bourrique par…wait for it…Bofur of course.

J’ai vraiment l’impression qu’on veut me tuer avec ce personnage. XD

PS: Hugo Weaving vieillit bien. Juste trop bien. C’est pas juste.

Quand tu veux, baby...

Quand tu veux, baby…



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