Selon les témoignages, il s'agit de jeunes gens qui n’hésitent pas à héberger des femmes surprises par la nuit et qui n'ont plus nulle part aller pour dormir. Ces pauvres dames seules risquent même d’être agressées ou violentées dans ces rues lugubres la nuit de ce quartier.
Le comble c'est qu'elles doivent se rendre à plus de 500 km de Dakar, et l’horaire du voyage est loin d’être régulier. Pour éviter cette déroute, elles se jettent dans les "gueules tapées" des loups GT. Ces femmes, faute d'autres solutions, acceptent souvent la pseudo-hospitalité qui finit par se transformer en une soirée de sexe sans consentement, aux multiples conséquences.
Tel est ces derniers temps le scandale. Les risques encourus et vécus par les femmes sont réels quand elles doivent quitter Dakar pour retourner chez elles. Les autorités compétentes sont interpellées. Le gouvernement du Zimbabwe doit garantir tous les droits humains inscrits dans la nouvell...
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