
Cette analyse, accompagnée de nouveaux témoignages, figure dans le récent rapport d’Amnesty International "North Korea: Continued Investment in the Infrastructure of Repression".
Un ancien responsable de la sécurité du camp no 16, le plus grand camp de prisonniers politiques en Corée du Nord, s’exprime publiquement pour la première fois dans ce rapport. Il y parle de détenus forcés de creuser leur propre tombe et de femmes disparaissant après avoir été violées.
"La réalité de l’investissement permanent de la Corée du Nord dans cet immense réseau de répression est mise au jour. Amnesty International exhorte les autorités à libérer immédiatement et sans condition tous les prisonniers d’opinion détenus dans les camps pour prisonniers politiques et à fermer ces camps sans délai", a déclaré Rajiv Narayan, spécialiste de l’Asie de l’Est au sein d’Amnesty International.
Amnesty International a partagé ces éléments d’information avec la commission des Nations unies chargées d’enquêter sur les violations des droits humains commises en Corée du Nord.
Amnesty International a annoncé lundi 9 décembre 2013 qu’elle a déposé une plainte contre l...

