Les causes étant parfaitement identifiées, il était alors
décidé de modifier l’ensemble électromécanique de déploiement et de verrouillage du train d’atterrissage de l’avion :
Pour en arriver à la robotisation indépendante des 3 roues, et non plus de la seule roue avant, qui était suivie mécaniquement par les 2 roues du train principal.
Adieu aux vols qui auraient dû être effectués essentiellement pour mon plaisir et celui de mon passager cet été 2013 !
Le nouveau train électromécanique reste simple, et plus robuste, toujours motorisé par le seul même petit bloc moteur de de 35 watts, et ne pèse que 270 g de
plus.
Côté motorisation de l’avion, les essais en vol ont donc pris un retard important, un prochain article fera le point sur les résultats obtenus sur mon banc d’essai avec un moteur initialement
identique au moteur actuel du Lynx.