Sans doute faudrait-il que les pouvoirs publics comprennent enfin que l’immense majorité des redressements Urssaf concerne des employeurs de bonne foi, qui sont punis par excès de zèle d’organismes en quête de résultats ou pour n’avoir pas interprété correctement des textes incompréhensibles.
Point de vue de François Taquet (professeur de droit social, avocat, conseiller scientifique du groupement d’avocats Gesica) à lire dans Les Échos
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