Dans le supplément radio-télévision d'un célèbre journal du soir, à propos du film diffusé avec un DVD joint (les Chariots de feu) :
Au lieu de cela [s'entraîner à l'université de Cambridge], il [Harold Abrahams] s'adjoint les services d'un entraîneur étranger au sérail, un entraîneur mi-italien, mi-arabe, bâtant en brèche les fondements symboliques de l'une des plus nobles institutions de l'Empire britannique.
Décidément cette série de chroniques cinématographiques montre des capacités orthographiques dignes d'un âne. Mais comme on parle de sport, de jeux olympiques et d'éducation à l'anglaise, l'analogie allait sans doute de soi...