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Critiques Séries : The Crazy Ones. Saison 1. Episode 13. Outbreak.

Publié le 26 janvier 2014 par Delromainzika @cabreakingnews

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The Crazy Ones // Saison 1. Episode 13. Outbreak.


Après le très bon épisode précédent, The Crazy Ones m’a légèrement déçu cette semaine. Je dis bien légèrement. Ce n’est pas bien grave mais comme les personnages de la série, je pense que les scénaristes ont attrapé un léger rhume. Pourtant, j’ai trouvé cet épisode décontracté, amusant et même parfois assez drôle. Cette histoire de communique de crise était même plutôt bien gérée mais je ne saurais même pas vous expliquer pourquoi je l’ai trouvé moins bien que l’épisode précédent. Il avait tous les atouts pour qu’il soit aussi bon voire meilleur mais voilà, ce n’était pas aussi drôle tout simplement, peut-être. Je n’ai pas été aussi sensible en tout cas. Mais peu importe, « Outbreak » reste un bon épisode de The Crazy Ones. Cela fait plaisir de voir la série prendre du poil de la bête après avoir plus ou moins enchainé les épisodes pas très bons avant les vacances de Noël. Ce qu’il y a de bien avec cet épisode c’est que l’on va beaucoup plus loin, que l’on cherche à nous faire comprendre qui sont les personnages que l’on côtoie depuis le début de la saison. Car le problème de The Crazy Ones cela a toujours été le manque de développement de personnages, de liant.
Du coup, on se retrouvait plus ou moins avec des épisodes qui s’enchainent, sans qu’il n’y ait réellement de lien entre les uns et les autres. Ce qui est assez amusant avant tout c’est la manière dont va se propager ce rhume dans le bureau. Notamment avec le petit plan machiavélique de Zach. Ce dernier n’est pas le petit enfant sage que l’on pourrait croire. James Wolk a beau avoir une tête d’ange, il peut très bien être un petit filou lui aussi. C’était même assez drôle. De plus, cela permet également à tous les personnages de The Crazy Ones d’être légèrement plus mis en avant. Je me demande si David E. Kelley n’est pas en train de construire ce qu’il a toujours voulu faire avec la série. Il met donc en arrière plan (plus ou moins) Simon. Il a donc certainement capitalisé sur le nom de Robin Williams lors des premiers épisodes et puis maintenant il capitalise sur ce qu’il fait ailleurs et notamment du point de vue de Sarah Michelle Gellar et de ses acolytes masculins. Et puis c’était une bonne chose de voir Lauren servir à quelque chose encore une fois. Avec l’épisode précédent c’est la seconde fois que le personnage sert enfin à l’histoire (réellement quoi).

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Et puis Andrew, le bon samaritain. Cette casquette lui va bien quand même. Même si j’aurais presque aimé que l’on cherche à aller un peu plus loin avec lui. L’épisode cherche également à faire prendre conscience à Sydney qu’elle a besoin des autres et qu’elle ne peut pas faire tout toute seul. Du coup, on gagne là aussi en développement de personnages et en cohérence même. Alors certes, cela aurait pu être encore plus finaud ou même encore plus drôle mais à mon sens l’équilibre est là. David E. Kelley est en train de faire quelque chose avec The Crazy Ones et il était temps tout de même. J’étais à deux doigts de laisser tomber les critiques épisodiques en décembre dernier. Comme quoi, parfois, il ne faut pas perdre espoir. Si j’ai bien perdu espoir c’est cependant en Michael J. Fox Show. Si je ne vous ai pas fait passer l’information, j’ai bel et bien abandonné cette série. Il faut quand même faire quelques élagage avant le printemps. C’était vital pour moi d’abandonner une série qui n’était plus du tout drôle, plus du tout intéressante et qui n’a jamais réussi à piquer réellement ma curiosité.
Note : 7/10. En bref, un peu moins bon que le précédent mais permettant encore une fois de faire ce que The Crazy Ones aurait dû faire depuis le début.


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