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161- l’univers a l’envers

Publié le 27 janvier 2014 par Jeanjacques

EXTRAITS DE WIKIPEDIA

Les étoiles riches en « métaux » sont appelées étoiles de population I .Ces étoiles sont communes dans les bras des galaxies spirales comme dans notre Galaxie 
La métallicité des Pop I est proche de celle du Soleil par opposition aux Pop II qui elles sont pauvres en « métaux », jusqu'à un facteur 1 000 ou plus. L'âge des Pop I s'étale entre 0 et 9 milliards d'années environ.

Les étoiles pauvres en métaux sont appelées « étoiles de population II ». Elles sont généralement très anciennes (plus de 8 milliards d'années) et se trouvent dans les amas globulaires et dans le halo des galaxies. L'amas globulaire M80, constitué principalement d'étoiles de population II.

COMMENTAIRES

On peut se demander si nous ne nous trouvons pas là devant une inversion de la compréhension du développment des étoiles. Selon le schéma standard, plus une étoile est jeune, plus tardivement elle est apte à fabriquer ses éléments lourds. carbone, oxygène et autres éléments lourds comme le fer interviennent plus tardivement à mesure que l’étoile se contracte et se hausse en température.

Mais c’est tout le contraire qui est observé. Les étoiles jeunes de la population I sont les plus riches en métaux et se trouvent situées plutôt sur les bords exterieurs de la galaxie.

Les astres de la population II, les plus vieux, sont bien moins fournis en métaux alors même qu’ayant achevé leur développement ils devraient au contraire en posséder davantage puisque leur fabrication est plus tardive selon le schéma standard.

Si l’on s’en tient aux observations, nous constatons que les étoiles fabriquent initialement les éléments les plus lourds et cessent progressivement leur émission pour finir pas s’entourer d’une couronne hydrogène.

C’est très exactement le type d’astrogenèse que nous avons proposé. Les étoiles se développent à partir d’un cœur photonique ayant une température extrême et fabriquent en premier fer, silicium, magnésium oxygène, carbone pour s’achever dans une abondante émission d’hydrogène recouvrant l’étoile.

Ce schéma est l’exact inverse de la théorie de l’effondrement qui suppose la matière des nuages interstellaires disponible pour enclancher in fine les réactions nucléaires. Bien peu s’aperçoivent à quel point cette théorie n’explique pas les observations mais cela importe guère : puisque la majorité des scientifiques de renom y croient, cela devient vérité commune. Cela nous enseigne une chose : c’est la théorie qui commande aux faits observés, dites moi ce que vous pensez et je vous dirai ce que vous pourrez voir.


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