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Séance de rattrapage I Blade Runner

Publié le 31 janvier 2014 par Generationnelles @generationnelle

Vous l’avez loupé dans les salles obscures? Pas de soucis, Générationnelles vous fait un récap’ d’un film à mettre dans votre liste « must  watch ».

Harrison Ford faisait parler de lui il y a quelques temps pour son rôle dans un film à gros budget, et qui cela dit en passant avait le profil du gros nanar. Cette semaine, le cher Harri’ refait surface ! Il va grossir le casting de Star Wars VII en interprétant l’éternel Han Solo. Face à cette actualité, nous nous devions de vous faire une petite séance de rattrapage sur Blade Runner, l’un des meilleurs films du bougre.

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 On vous plante le décors : Nous somme en 2019 à Los Angeles. Le monde ressemble à un Chinatown qui aurait mal tourné. Il fait sombre, on a le sentiment qu’il pleut tout le temps. Comme nous sommes dans le « futur » ( le film est sorti en 1982), la race humaine est partie coloniser des planètes. Mais comme la chose est on ne peut plus dangereuse, on a laissé la sale besogne à des androïdes qui répondent au joli sobriquet de « réplicant ». Interdits sur la Terre, ils s’y aventurent quand même. Pour les exterminer, on fait appel à des Blade Runners. Et c’est là qu’intervient notre cher Harrison ! Il incarne Deckard, un Blade Runner chargé de tuer quatre réplicants.

 Présenté ainsi, le film de Ridley Scott ressemble à un énième navet de science fiction. C’est ce que j’ai pensé du haut de mes 13 ans quand mes parents m’ont présenté ce film qui allait m’en mettre plein la vue.

 Si le pitch peut ne pas emballer, l’ambiance est fantastique. Los Angeles que l’on a tendance à assimiler à une oasis urbaine qui transpire le bonheur est déprimante. Des vilains buildings qui balancent de la pub en permanence, des ruelles qui ressemblent à des coupes gorges, des échoppes asiatiques pas franchement avenantes, des intérieurs qui ont besoin d’un sacré ravalement, on est serré les uns contres les autres, et tout le monde fait la gueule ! On a l’impression d’être dans un royaume interlope, sans espoir. Tout comme notre cher Harrisson. Et que dire des looks des réplicants… Mention spéciale pour Zora, la charmeuse de serpent qui finit salement dans cette scène mythique. ATTENTION SPOILER !

Mais notre coup de cœur ultime va à Rachel, la gentille réplicante qui fait frétiller Deckard/Harrison. Avec ses fourrures, ses épaulettes de dingues, ses longs ongles vernis, elle incarne une version remasterisée du look des années 1940 que l’on adore.

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