En cette saison des sports d’hiver et avec les Jeux Olympiques de Sochi, la mode des mini caméra reprend de plus belle car chacun veut partager ses exploits. Mais l’actualité marquée aussi par les inondations en France est l’occasion de mettre en avant un nouveau type de vidéo. D’abord mis au service des armées puis désormais accessibles au grand public, l’utilisation des drones – ces appareils sans pilote embarqué – se démocratisent si bien(1) que les chaînes de télévision commencent petit à petit à s’équiper pour offrir de nouveaux points de vue au public. Les plans « vu du ciel » dans les documentaires, reportages ou même dans les directs sportif (tour de France 2013) peuvent être ainsi réalisés avec des moyens moins coûteux et permet des prises de vues originales et atypiques ce qui explique en grande partie son utilisation de plus en plus fréquente. Le dispositif permet également de capter des plans plus précis qu’avec un hélicoptère.
Pour fonctionner l’appareil a besoin d’un binôme constitué du pilote qui dirige le drone et d’un cadreur qui oriente l’axe de la caméra. La qualité est aussi au rendez-vous, les appareils sont équipés de boitiers professionnels de type CANON 5D ou SONY F55, les images sont au moins en HD et plus nette.
Le drone ne remplacera pas pour autant l’hélicoptère ou la montgolfière, sa légèreté et mobilité en font aussi bien sa force que son talon d’Achille, les conditions météo sont décisives et peuvent aisément provoquer collision ou crash.