Un jeune blanc-bec de 36 ans dirigera pendant cinq ans Radio France et devra être le garant d'un pluralisme qui reconnaît et accepte la diversité des opinions et de leurs représentants... pluralisme qui s'est pourtant fait la belle et la malle depuis une bonne trentaine d'années maintenant... faute de détermination et de courage.
Pour sûr, tous les groupes de pression - politique, économique et communautaire -, doivent se réjouir ! Ils ne feront qu'une bouchée de ce bellâtre ! C'est tout cru qu'ils le mangeront.
A cette heure, tous doivent déjà se frotter les mains !
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Sorti tout droit des valises de Frédéric Mitterrand qui n'aime rien tant que la jeunesse... jeune et fringante, ce jeune gringalet succède à un Jean-Luc Hees à zéro de tension, qui était à l'autorité - celle d'un patron -, au charisme et à l'opiniâtreté journalistique ce qu'est un fast-food à notre longue et belle tradition culinaire.
Mais alors... comment le CSA a-t-il su que nous étions aussi nombreux à ne plus rien attendre de Radio France - en autres groupes médiatiques dominants ?
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