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Critiques Séries : Workingirls. Saison 3. Episodes 7, 8 et 9.

Publié le 13 mars 2014 par Delromainzika @cabreakingnews

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Workingirls // Saison 3. Episode 7, 8 et 9. Stage de survie / Reportage / Le grand audit.


Ce dont je me suis rendu compte avec ces trois épisodes c’est à quel point le temps passé extrêmement vite devant cette comédie. Workingirls c’est aussi efficace qu’une fusée. On nous délivre tout un tas de bons gags et de très bonnes répliques en seulement un petit quart d’heure. Ces deux épisodes n’étaient pas forcément tous aussi bons les uns que les autres mais ils ont tous tellement de pointes d’humour. C’est sans parler du fait qu’il y a tout un tas de fils rouges réussis et c’est tout ce que l’on pouvait demander de la part de Workingirls. A commencer par le « Stage de survie ». C’était l’occasion dans un premier temps de créer un truc complètement farfelu sur le lieu de travail. En effet, qui aurait pu penser que les employés allaient faire un stage de survie dans leurs bureaux. Mais c’est pourtant bien ça. Tout le monde se retrouve alors à faire des noeuds, chercher de la nourriture dans le hall d’entrée, monter des tentes, etc. La crainte de Karine vis-à-vis des chinois me fait elle aussi beaucoup rire. Surtout que cette paranoïa créé pas mal de très bons dialogues au passage.
Cet épisode est aussi l’occasion de baver sur Jean-Félix, le séduisant moniteur qui va les aider dans leurs aventures. Un personnage à fond dans son boulot et des femmes qui, en face, sont toutes à ses pieds. Sauf Deborah qui a perdu complètement l’envie d’utiliser sa chatte, comme elle le chante si bien. « Ma chatte » et son spin off « Ma touffe » pourraient très bien être des titres à faire pâlir Patrick Sébastien. Laurance Arné était vraiment drôle dans cet épisode, presque touchante quand elle parle du fait que sa chatte lui manque. N’oublions pas le bouche à bouche d’Anne Marivin à Claude Perron, là aussi un grand moment. Surtout quand on sait que les deux femmes fricotent ensemble dans Workingirls. Mais dans cet épisode de Workingirls nous avons également une apparition de Mademoiselle Agnès. Cette dernière revient 3 mois après avoir relooké Hélène afin de voir si elle est toujours bien lookée. Tout simplement. Il se trouve qu’en fait elle n’utilise pas toujours ses chaussures, qu’elle ne se lave plus les cheveux pour garder sa couleur, etc.

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Tout cela est particulièrement cocasse et Mademoiselle Agnès, qui joue ici son propre rôle, n’a vraiment pas froid aux yeux. Elle est capable de se moquer d’elle même et c’est tout à son honneur. L’épisode s’amuse donc entre Hélène mais également Karine qui pense que les chinois sont derrière ce reportage. C’était grandiose. Les scénaristes jouent donc à la fois avec la paranoïa chinoise (qui est un fil rouge de la saison) mais aussi avec le relooking d’Hélène. Hélène va également avoir droit à un vrai running gag autour d’expressions définissant ce qu’elle peut faire aux toilettes par moment « La taupe ? Je l’ai faite ce matin avant de venir » ou encore « J’ai la marmotte au guichet ». Deux très bonnes expressions. Enfin, « Le grand audit » est certainement l’épisode le plus décevant de la saison jusqu’à présent. Finalement, les chinois vont débarquer et mettre en danger le poste de Karine. Cette dernière va donc tenter de sauver sa peau. On ne connait pas vraiment le dénouement de cette histoire (j’aurais bien aimé que Karine soit rétrogradée et que quelqu’un parmi les employés prenne sa place) mais finalement peu importe étant donné que le tout reste assez jouissif.
Note : 7/10, 8/10 et 6/10. En bref, de l’humour toujours efficace pour Workingirls.


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