Cette semaine, nous consacrons notre une à cette vidéo qui circule sur le net et qui montre des jeunes du quartier des Bressons, à Salon, se filmant dans des scènes de baston et de vandalisme. Le tout sur fond de rap. L'article complet est à lire en page 2 avec les réactions d'une psychologue salonaise et de l'adjoint de Mme le commissaire.
Ci-dessous, un montage des principales scènes marquantes de cette vidéo polémique, suivi des réactions qui nous sont parvenues après le bouclage du numéro.
Nous n'avons pas été en mesure de joindre le maire, Michel Tonon.
![[DOSSIER] Ils mettent leur violence en scène [DOSSIER] Ils mettent leur violence en scène](http://media.paperblog.fr/i/70/705602/dossier-mettent-violence-scene-L-2.jpeg)
![[DOSSIER] Ils mettent leur violence en scène [DOSSIER] Ils mettent leur violence en scène](http://media.paperblog.fr/i/70/705602/dossier-mettent-violence-scene-L-3.jpeg)
Durant les municipales, j'avais proposé qu'on remette les îlotages dans les quartiers. Je suis toujours convaincu qu'il faut le faire, ou alors ce sera la jungle. Tout cela va mal finir, un jour ou l'autre. Les agressés vont devenirs les agresseurs, et on ne pourra que les comprendre.»
![[DOSSIER] Ils mettent leur violence en scène [DOSSIER] Ils mettent leur violence en scène](http://media.paperblog.fr/i/70/705602/dossier-mettent-violence-scene-L-4.jpeg)
Autre vidéo polémique, celle du groupe français Justice (photo ci-contre). Leur dernier clip, visible exclusivement sur le net, met en scène un groupe de jeunes qui s'attaque à tout ce qui l'entoure. Face aux débats que ce clip a suscité, le groupe s'est expliqué par le biais d'un communiqué : "Sans la contrainte de réaliser un clip diffusable, nous avons pris toutes les libertés avec ce support. Pas pour choquer gratuitement : juste pour ouvrir le débat, susciter des questions, comme le font régulièrement le cinéma, la littérature ou l'art contemporain.
(...) Nous n'avons ni l'intention ni la légitimité de parler en profondeur des problèmes de société. Ce film n'a jamais été envisagé comme une stigmatisation de la banlieue, comme une incitation à la violence ou, surtout, comme un moyen larvé de véhiculer un message raciste."