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Razer Sabertooth : une manette acérée en test

Publié le 26 mars 2014 par Be-Games @be_games

Une manette 360, c’est bien. Une manette 360 filaire et donc directement compatible PC, c’est très bien. Une manette 360 filaire à touches programmables, c’est la fête. Tu aimerais faire ta fête ; Razer va te le faire aussi pour environ 80 euros.

Quand j’étais petit, je lisais souvent mon livre du WWF sur les animaux disparus (à force de se faire manger par des grosses bêtes ou chasser par les méchants adultes qu’il-ne-faut-surtout-pas-devenir-comme-eux-les-enfants). Parmi ces animaux rayés de la carte, il y en avait un qui m’impressionnait particulièrement : le tigre à dents de sabre ! Voilà un nom qui en jette, autant en français qu’en anglais. Razer Sabertooth, c’est du heavy metal dans ta main, oooooh yeah !

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Après avoir ouvert la sacoche de transport luxueuse, on sort la manette et son cordon souple détachable qui sert à la brancher sur un port USB (360 ou PC). Et là, tout s’allume : les boutons colorés, la croix et le programmateur. Funky sans être grossier. Approchons maintenant nos doigts de ces boutons de lumière.

La prise en main est excellente comme celle de la manette 360 traditionnelle. Les différences résident dans le toucher. Ainsi, les gâchettes principales ont une course plus longue que sur celles de la manette originale. Les boutons colorés réagissent, eux, beaucoup plus rapidement, et on se surprend au début à appuyer deux fois sur le même bouton. Les sticks sont conformes aux originaux et peuvent être surmontés d’un cache antidérapant (fourni) à la couleur verte pas très élégante. Ils sont, de surcroît, réglables en termes de précision.

La programmation est la grosse valeur ajoutée de la Sabertooth. Les réglages, visibles sur l’écran de la manette (chouette idée), concernent les boutons et gâchettes programmables. Ces touches programmables sont disposées un peu partout sur la manette, à des endroits inhabituels mais facilement accessibles. À l’aide d’une manipulation très simple, vous pouvez leur attribuer l’action d’un bouton principal. La touche programmable reproduira alors l’effet du bouton principal concerné. À vous d’essayer les différentes combinaisons possibles, que vous pouvez configurer selon vos envies dans les deux profils disponibles.

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Les gâchettes programmables ont chacune une conception différente et permettent donc au joueur de donner le toucher qu’il souhaite à une action en particulier. Typiquement, si la course des gâchettes principales vous semble trop longue, vous pouvez utiliser à leur place les gâchettes très réactives qui sont situées (et très bien positionnées) à l’arrière du pad. Hélas, il est impossible d’attribuer une touche du clavier PC ou une combinaison de boutons. Pas question de « tricher » en simulant la pression simultanée sur les trois coups de poing dans Street Fighter IV. On ne s’en plaindra pas forcément puisque la croix directionnelle n’est pas vraiment pratique pour les jeux de combat. Elle se présente sous une forme non pleine (comme sur les manettes Playstation) et n’est pas suffisamment précise pour un usage exigeant.

Razer Sabertooth : une manette acérée en test spacecowboy

Conclusion : Sur 360 comme sur PC, la Razer Sabertooth offre un confort de très haut niveau et une personnalisation poussée. Hormis les jeux de combat pour lesquels sa croix directionnelle est décevante, elle est à l’aise sur tous les terrains.

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Matos
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Publié le 26 mars 2014 par spacecowboy

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Razer Sabertooth : une manette acérée en test

Une manette 360, c’est bien. Une manette 360 filaire et donc directement compatible PC, c’est très bien. Une manette 360 filaire à touches programmables, c’est la fête. Tu aimerais faire ta fête ; Razer va te le faire aussi pour environ 80 euros.

Quand j’étais petit, je lisais souvent mon livre du WWF sur les animaux disparus (à force de se faire manger par des grosses bêtes ou chasser par les méchants adultes qu’il-ne-faut-surtout-pas-devenir-comme-eux-les-enfants). Parmi ces animaux rayés de la carte, il y en avait un qui m’impressionnait particulièrement : le tigre à dents de sabre ! Voilà un nom qui en jette, autant en français qu’en anglais. Razer Sabertooth, c’est du heavy metal dans ta main, oooooh yeah !

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Après avoir ouvert la sacoche de transport luxueuse, on sort la manette et son cordon souple détachable qui sert à la brancher sur un port USB (360 ou PC). Et là, tout s’allume : les boutons colorés, la croix et le programmateur. Funky sans être grossier. Approchons maintenant nos doigts de ces boutons de lumière.

La prise en main est excellente comme celle de la manette 360 traditionnelle. Les différences résident dans le toucher. Ainsi, les gâchettes principales ont une course plus longue que sur celles de la manette originale. Les boutons colorés réagissent, eux, beaucoup plus rapidement, et on se surprend au début à appuyer deux fois sur le même bouton. Les sticks sont conformes aux originaux et peuvent être surmontés d’un cache antidérapant (fourni) à la couleur verte pas très élégante. Ils sont, de surcroît, réglables en termes de précision.

La programmation est la grosse valeur ajoutée de la Sabertooth. Les réglages, visibles sur l’écran de la manette (chouette idée), concernent les boutons et gâchettes programmables. Ces touches programmables sont disposées un peu partout sur la manette, à des endroits inhabituels mais facilement accessibles. À l’aide d’une manipulation très simple, vous pouvez leur attribuer l’action d’un bouton principal. La touche programmable reproduira alors l’effet du bouton principal concerné. À vous d’essayer les différentes combinaisons possibles, que vous pouvez configurer selon vos envies dans les deux profils disponibles.

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Les gâchettes programmables ont chacune une conception différente et permettent donc au joueur de donner le toucher qu’il souhaite à une action en particulier. Typiquement, si la course des gâchettes principales vous semble trop longue, vous pouvez utiliser à leur place les gâchettes très réactives qui sont situées (et très bien positionnées) à l’arrière du pad. Hélas, il est impossible d’attribuer une touche du clavier PC ou une combinaison de boutons. Pas question de « tricher » en simulant la pression simultanée sur les trois coups de poing dans Street Fighter IV. On ne s’en plaindra pas forcément puisque la croix directionnelle n’est pas vraiment pratique pour les jeux de combat. Elle se présente sous une forme non pleine (comme sur les manettes Playstation) et n’est pas suffisamment précise pour un usage exigeant.


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