The Mentalist // Saison 6. Episode 15. White as the Driven Snow.
Je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à ce que Risgby et Van Pelt fassent leurs adieux dans un tel épisode. C’était assez mouvementé. Mais en tout cas je suis tout de même heureux de
voir qu’aucun des deux n’est mort. Après tout, ils ont un enfant. Cela aurait été vache de la part de The Mentalist de les tuer. Surtout que j’aurais bien envie de les revoir si
jamais le coeur en disait aux deux protagonistes. Après l’épisode, Abbott va offrir une place au FBI aux deux personnages mais ils ne veulent plus faire ça, ils vont simplement être proche de
leur enfant et avoir une vie de famille normale, comme tout le monde. J’aime beaucoup car cela fonctionne terriblement bien et c’est surtout tout ce que j’attendais du départ de ces deux
personnages. A la fin de l’épisode précédent, on avait déjà un indice. L’épisode allait forcément être consacré à Van Pelt. Cette dernière s’est donc faite kidnappée dans sa chambre d’hôtel et
l’épisode se charge de la retrouver. Ce n’est pas facile mais tout cela nous conduit rapidement vers Richard Haibach. Ce dernier est un personnage intéressant, surtout qu’il ne va pas être très
simple de le faire parler.
Rigsby et Jane vont tout mettre en oeuvre pour retrouver Van Pelt. Notamment pour l’implication émotionnelle que l’un a avec le personnage et l’autre car de toute façon il n’est pas agent du FBI
et n’a rien à faire de la loi. Bien au contraire, on pourrait même dire qu’il s’en amuse. Sauf que cette semaine ce n’est pas un temps pour rire. Bien au contraire. L’épisode nous plonge donc
dans la pénombre et cela se ressent énormément à l’image. Le filtre est plus glacial et les lieux sont beaucoup plus froids. Notamment Van Pelt qui se retrouve dans une vieille bâtisse mal
éclairée et qui va réussir à s’en sortir et se retrouver en pleine montagne enneigée. C’était beau les décors et la mise en scène aussi. Chris Long, déjà metteur en scène de
plusieurs épisodes de The Mentalist, a fait ici un très joli boulot, un peu comme sur le fameux épisode « Red John » qu’il avait lui-même mis en scène.
On retrouve ce qu’il avait pu faire notamment dans Dirt il y a de ça quelques années maintenant.
Note : 8/10. En bref, du très bon The Mentalist.