A Saint-Vaast-lès-Mello, dans le département de la Somme, un maire élu avec seulement 132 voix soit environ 15% des électeurs inscrits... ce qui lui a donné un pourcentage de 51,16%

Trois listes étaient en présence au premier tour des élections municipales de Saint Vaast Lès Mello:
- celle d'« Unis pour Saint-Vaast », menée par Thierry Wittenhove qui avait obtenu 182 voix, Divers
- celle de « Saint Vaast Lès Mello : des projets, des compétences, un avenir », menée par Jacques Daubresse, 132 voix, Divers mais ex-premier adjoint élu, en 2007, sur une liste Divers Gauche
- celle d'« Avant, maintenant, demain pour Saint Vaast », menée par Yann Lefèvre, Divers Gauche, maire sortant...
Particularité, le candidat Jacques Daubresse a jugé que suite à ce que « des électeurs lui ont fait remarquer... » que le bulletin de vote concernant la liste Thierry Wittenhove « comportait un logo dont l’emplacement n’est pas autorisé, et qu’il ÉTAIT CLAIREMENT PLUS OSTENTATOIRE QUE LES AUTRES, nous avons donc demandé de faire figurer l’anomalie au procès-verbal », une procédure qui a entraîné la nullité des bulletins de son adversaire.
Comment un homme peut-il se permettre, sans en appeler à la justice pour en statuer, a-t-il décidé de considérer que le logo de son adversaire POUVAIT ÊTRE PLUS OSTENTATOIRE QUE LES AUTRES, donc plus ostentatoire que celui apposé sur ses propres bulletins de vote, d'autant plus un logo qui est apparu sur tous les documents officiels de la liste de Thierry Wittenhove, sur tous ses tracts et sur toutes ses affiches et que durant toute la campagne pour les municipales ce logo n'a fait l'objet d'aucune contestation ? Légalement, une demande en annulation de l'élection, auprès du tribunal administratif, aurait dû être faite au lendemain du premier tour... et la justice, non un homme candidat à une investiture municipale, s'en devait de statuer... d'autant que les 182 bulletins de vote ont été considérés blancs ou nuls sur le seul concept subjectif d'un homme qui a été , en même temps, juge et partie... un acte passible de poursuites... car engageant son intérêt personnel...
En fait « Ne pas prendre en compte 182 votes, c’est un manque de respect envers les électeurs. » Comment le candidat Jacques Daubresse, n'ayant recueilli que seulement environ 15% des électeurs inscrits peut-il se juger être un maire légitime ?
posté le 01 avril à 05:06
d'autant plus un logo qui est apparu sur tous les documents officiels de la liste de Thierry Wittenhove, sur tous ses tracts et sur toutes ses affiches et que durant toute la campagne pour les municipales ce logo n'a fait l'objet d'aucune contestation ? Légalement, une demande en annulation de l'élection, auprès du tribunal administratif, aurait dû être faite au lendemain du premier tour... et la justice, non un homme candidat à une investiture municipale, s'en devait de statuer... d'autant que les 182 bulletins de vote ont été considérés blancs ou nuls sur le seul concept subjectif d'un homme qui a été , en même temps, juge et partie... un acte passible de poursuites... car engageant son intérêt personnel... En savoir plus sur http://www.paperblog.fr/7072534/comment-le-candidat-jacques-daubresse-n-ayant-recueilli-que-seulement-environ-15-des-electeurs-inscrits-peut-il-se-juger-etre-un-maire-legitime/#c95l3JGyXKADP9Fp.99