Pour revivre, il faut une grâce, l'oubli de soi ou une patrie. Certains matins, au détour d'une rue, une délicieuse rosée tombe sur le coeur puis s'évapore. Mais la fraîcheur demeure encore et c'est elle, toujours, que le coeur exige. Il me fallait partir à nouveau.
Retour à Tipassa - Albet Camus
Je vous souhaite une douce nuit et fraîche nuit après cette chaude journée de printemps.