SA PENSÉE POLITIQUE (chapitre 1)
L’éditorialiste Éric Zemmour disait en mars 2012 : « Sarkozy a été élu pour mettre en œuvre ce que j’appelle un lepénisme raisonnable et gouvernemental. Or, il ne l’a pas fait car cela l’aurait obligé à affronter l’Union européenne. »
Sarkozy n’est pas un libéral. Il est dirigiste, conservateur, pro-israélien, pro-américain et étatiste.
Le journaliste Franz-Olivier Giesbert le décrit comme : « un opportuniste, assez étatiste, vaguement social et plutôt libéral. »
Ses décisions et ses réformes prouvent qu’il ne fait pas confiance aux français pour améliorer eux-mêmes leurs projets et leur créativité.
En voici des exemples :
-‘’La discrimination positive’’. Lorsqu’on est libéral, on ne peut admettre que l’État favorise une partie de la population.
-‘’L’immigration choisie’’. C’est plutôt antilibéral d’empêcher la libre circulation de personnes et de garder les immigrants d’un certain rang social et de renvoyer les autres dans leurs pays respectifs.
-Sa gestion de la sécurité a été un échec. Au lieu de mettre en place une police de proximité qui aurait patrouillé jour et nuit dans les quartiers difficiles, monsieur Sarkozy s’est contenté d’envoyer des cars de CRS pour rétablir l’ordre au mieux.