Facebook me fait de plus en plus penser à un opticien qui vous vendrait des lunettes peu chères, mais que vous devriez porter en permanence avec des étiquette publicitaires de taille croissante collées dessus, à la fois pour vous imprégner de leur message et pour que vous lui serviez d’homme-sandwich pour l’extérieur, mais cette gratuité finirait par devenir une charge avec de moins en moins de vision utile pour vous.