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Beauté I Mon histoire avec trois produits anti-acné

Publié le 25 avril 2014 par Generationnelles @generationnelle

Véritable quête pour chaque individu égocentrique de l’humanité, la crème anti-acné peut être la recherche de toute une vie. On a testé trois d’entre elles.

Ma vie avec les boutons a démarré vers la fin du collège. Fini le temps de la peau qui supportait toutes les m***** possibles et imaginables, comme le rouge à joues à 30 centimes, sans rougir, ni bourgeonner. Avec le temps, ces gentils petits parasites s’installaient sur ma face sans prévenir et sans raison. Peu satisfaites de ces nouveaux locataires, j’ai recherché pendant pas mal d’année le huissier de rêve qui les feraient déguerpir pour toujours. Mais comme disait ce cher John Milton «  Long et dur est le chemin qui de l’enfer conduit à la lumière ».

Je considère être arrivée à la fin de ce périple, et tiens à vous le raconter, ici, maintenant, tout de suite.

 C’est parti pour le grand récit de la quête de la crème anti-acné !

Occasion manquée

triacneal_avene

Ça aurait pu marcher entre le TriAcnéal de Avène et moi. Mais le destin, mais aussi et surtout ma manie de ne pas lire les notices, ont eu raison de ce possible idylle. Le visage plein de bubons, je me rends avec le cœur plein d’espoir dans une parapharmacie. Je vais direct vers le corner Avène, une amie m’ayant vanté les bienfaits de la marque. Je tombe devant ce que je croyais être le Saint Graal : le TriAcnéal qui dit « favoriser l’élimination des imperfections sévères ». Youpi, Ô joie, Ô allégresse, je repars avec le produit. Rentrée chez une copine, je me badigeonne généreusement le visage et sors boire un verre. ERREUR FATALE ! Je commence à avoir de petits résidus orange sur ma face et ressemble à un zombie au maquillage dégueulasse dans un mauvais film. Honteuse, je vais me nettoyer et jette avec haine et dédain le tube de crème. Ce n’est bien plus tard que j’ai appris la nécessité d’appliquer le produit le soir…

Love at first sight

vichy_normaderm
J’aurai pu me faire tatouer sur le front Vichy normaderm soin jour global. J’en étais folle. C’est ma chère mère qui était l’origine de la rencontre. Après ma dernière mauvaise aventure, tenter un autre morceau de vie avec une autre crème me paraissait inutile. Mal m’en a pris ! Dès la première application, ma peau s’est matifiée au point que c’en était effrayant. Les bubons sont partis vitesse grand V. Le bonheur total ! Je pensais l’avoir trouvé enfin ! Mais cette euphorie ne fut que passagère. Nous avons vécu quelques mois paisibles, parfois assombris par un bouton pendant la semaine de la mort, mais rien de bien alarmant. Mais l’efficacité s’est effilochée. Ça ne collait plus, ça ne marchait plus. Ma peau s’était habituée à lui et savait désormais déjouer ses plans pour laisser quelques boutons sur mon visu. C’est la mort dans l’âme que je mis un terme à notre relation.

L’amour tranquille

effaclarduo
Quand j’ai vu la publicité pour le soin Effaclar duo, c’est le mot désincrustant qui m’a mis la puce à l’oreille. J’imaginais un mineur tentant d’arracher des pépites de sébum à coup de pioche. Inspirée par mon imagination, je tentais l’aventure avec ce produit signé La Roche-Posay. Au départ, je n’étais pas emballée par la texture gel. En revanche, dès la première application, je sentais des picotements. Pas des picotements qui te disent : « Enlève ça de suite, c’est mauvais ! ». Mais plutôt du genre : « Ça va pas être de la tarte, mais on va y arriver baby ! » Les mineurs désincrusteurs se donnaient de la peine. Les progrès étaient visibles semaine après semaine. Vint le jour divin ou mon visage accueillaient un seul et unique locataire. J’en ai presque pleuré. Quand le dernier des Mohicans a déguerpi, j’ai constaté que toutes ces satanées marques rouges commençaient aussi à faire leurs valises. Le bonheur.

Si notre relation est toujours au beau fixe, Effaclar duo est de temps en temps un peu dur avec mon épiderme. Parfois, je lui fais des infidélités avec la bonne vieille nivea bien grasse des familles. Il arrive parfois qu’Effaclar ait des coups de mou. Mais je sais que ce n’est que passager.

J’espère que j’ai pu vous aider, ou qui sait vous faire rire. Mais gardez en tête que nous avons tous et toutes des peaux différentes qui réagissent différemment aux produits. Et vous, quel est votre CV anti-acné ?


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