Note liminaire : Nos articles se raréfient et nous devons nous en excuser auprès de nos lecteurs qui eux demeurent presque aussi nombreux, ce que nous n’expliquons pas. C’est que, une fois exposé les grandes lignes d’une théorie générale et l’avoir examiner sous tous ses angles, nous avons le sentiment de nous répéter à poursuivre davantage. Preuve en effet la critique de l’article ci-dessous :
L’ARTICLE (extraits)
Matière et énergie représentent deux entités équivalentes comme l'a montré la célèbre relation d'Einstein (E = MC2).
D'après la relativité générale (RG), la matière-énergie contenue dans l'univers n'est pas sans effets induits car elle courbe l'espace-temps dans ce dernier.
La RG considère donc l'espace-temps comme étant courbé et dynamique et découlant peut être de la matière-énergie.
Autre propriété du vide
En théorie quantique, la loi de conservation de l'énergie peut être brièvement violée. Le vide peut en effet "prêter" de l'énergie à l'occasion d'une collision de particules à condition que cette énergie soit presque immédiatement rendue.
Sans renter dans des considérations complexes, ce "viol" est autorisé par le principe d'indétermination d'Heisenberg.
Les physiciens considèrent que le vide est rempli de "particules virtuelles" qui se matérialisent brièvement lorsqu'on apporte de l'énergie, par exemple lors de collisions de particules à hautes vitesses.
Mais où sont ces particules virtuelles ?
On se demande donc d'où vient cette énergie prêtée par le vide.
Ne pourrait-elle pas par exemple provenir d'une dimension d'espace supplémentaire où seraient présentes ces fameuses particules, cela aurait l'avantage d'éviter de parler de cette notion vague de particules virtuelles.
Dans cette éventualité, se pose alors la question de l'appartenance de ces particules virtuelles à notre univers. On sait en effet les "pêcher" dans le vide mais elles y retournent très rapidement.
(Article extrait d’Agora-vox)
COMMENTAIRES
Nous avons ici un résumé caricatural des erreurs et inepties qui plombent le paradigme de physique actuelle et l’empêchent d’accéder à la vérité des phénomènes. Le grand fourvoyeur est bien évidemment Einstein et son équivalence masse-énergie. La matière se transforme en énergie : voilà l’une des plus sotte erreur du XXeme siècle et qui perdure. Nous avons dénoncé maintes fois cette croyance mais cette fausse vérité semble chevillée à l’âme de la quasi totalité des physiciens qui nous gouvernent.
Nous le répétons : l’énergie en tant que telle N’EXISTE PAS, il est impossible de la saisir indépendemment d’un corps, d’un objet physique quelconque en mouvement. Dire que la matière se transforme en énergie revient à affirmer que la matière se mue en mouvement MAIS celui-ci est toujours mouvement d’un objet physique. Aussi, disserter sur l’énergie du vide est un absolu non sens, le vide ne contient rien du tout ou plus exactement il contiendrait le concept de mouvement. Pour que ce vide « contienne » de l’énergie, il est nécessaire qu’il « contienne » un objet physique dont la mise en mouvement manifeste l’existence de cette énergie.
C’est une évidence tellement simple que nous ne comprenons pas qu’elle ne soit pas admise comme fondement premier de toute la science physique. A partir de cette mécompréhension initiale on justifie l’existence de particules virtuelles puis de délire en délire on va imaginer des univers différents (ou des dimensions supplémentaires d’espace), la bride est lachée à toutes les dérives de la science qui devient fiction.
Nous avons démontré ici la nécessité impérieuse de « remplir » l’espace d’un corps physique, d’une substance – la prématière – dont l’une de ses nombreuses propriétés spécifiques est de pouvoir être mise en mouvement sous la forme des ondes éléctromagnétiques. Là est l’origine véritable de cette « énergie du vide » et de ces particules virtuelles - lesquelles supposent bien évidemment que « quelque chose » comme une substance les constitue. Hors cette conception d’un vide-plein et de l’énergie-mouvement, tout le reste est littérature.