Magazine Humeur

Une approche conceptuelle (suite)

Par Basicinstinct82

LA FONCTION DE RÉGULATION MODULAIRE DE L’ACTION PUBLIQUE:

Après un exposé assez exhaustif, des champs thématiquement dévolus, à la fonction de régulation, comme substrat de l’action publique par le biais des politiques publiques, il devient, un véritable sacerdoce, la démarche méthodologique, consistant à relancer, un débat, qui a déjà, suscité autant d’assertions, que d’analyses, et aussi bien du point de vue d’une approche de la gouvernance que de l’efficacité de l’action publique, à savoir, la conception originelle de la fonction de régulation de l’état, au point qu’il est impératif de repenser la notion même de l’état, la corrélation supposée résulter du partenariat entre les institutions publiques et les organisations non gouvernementales, au delà, créer une spirale de l’interventionnisme public, dont la flexibilité, permette une interaction harmonieuse des axes d’intervention publique.

Ainsi, il est opportun et d’une perception assez vivifiés, ranimés, réconfortés et stimulés, de se saisir de la question, de la régulation de l’action publique, dans son aspect scrutateur, susciteur et refluant, disons ressassant, et jouxtant la fonction de régulation de l’état, depuis sa remise en cause par la théorie libérale, avec son champ d’acception économique, à celui désormais, englobant, à la fois, non seulement, la segmentation des axes d’intervention publique, jusque là trop onéreuse, en tant que corollaire de la baisse des déficits publics, par le biais du désengagement progressif de l’état, des activités économiques, mais aussi et surtout, l’ensemble des services publics, car la culture anglo-saxon, a tellement léguée ses conclusions scientifiques, de la gouvernance politique, la gestion optimisée des institutions, du, à son avance observée sur le sujet, si bien que la conception moderne de la gestion de l’état, son rôle d’orientation, d’impulsion, de coordination et de veille, aux fins de prévention de la déstructuration, la dérégulation, le dysfonctionnement des services publics, y compris l’inertie de l’action publique, n’ont fait que revenir, s’apposer, au panthéon de toutes les suppositions imaginées, imaginables et esquissées, afin de rendre l’état autant dynamique, qu’épris des normes, doctrines, et théories perspicaces et pragmatiques, à l’aplomb de la nouvelle délimitation de ses axes d’intervention, redéfinir son rôle, ainsi que le soustraire, de sa conception rétrograde, désuète, non conforme, à un brassage des genres, en attendant, l’éclosion de nouvelles théories, suffisamment étoffées de mécanismes d’action, de régulation, sans exclusion faite de l’imagination de ses nouvelles prérogatives, reposant sur des instruments efficaces de régulation de l’action publique.

De là, à concevoir l’état et le comprendre, au regard de l’approche qui en est faite, dans le sillon de notre époque, nous fait objecter, arguer, riposter, alléguer, invoquer et chicaner, les possibles dérives, pouvant émaner, d’une conception de l’état, n’incluant opportunément, les véritables présupposés, conjectures, postulats et présomptions, qui viennent s’énoncer dans la foulée, comme une alternative indépassable, à bien des seuils, dans l’amorce de l’optimisation de la gestion publique, car, la culture politique, axée sur des politiques publiques, surtout la plus usitée, puis que surdimensionnée parallèlement à la situation de contrainte vécue par beaucoup de pays pauvres, anticipative de perspectives de schématisation infructueuse, des paramètres à l’avantage de part et d’autre des pays en quête d’un schéma de développement innovant et de surcroît,  incarnées et transposées par/ et à travers l’action publique, en ses principaux instruments, voyant par extension, les pays développés, eux-mêmes, s’y évertuer, pour mieux étouffer les conséquences désastreuses de la mondialisation des échanges, sur les économies locales, contrer les obstacles, sporadiques, contenir les crises de récession, les distorsions, relevées dans la gestion publique territoriale, les conflits de compétences entre entités administratives, les incompatibilités constatées dans la délégation des services et le transfert des pouvoirs.

Comment réguler l’action publique, planifier l’économie, coordonner l’action gouvernementale, impulser l’orientation politique et piloter les politiques publiques concomitamment à la décentralisation territoriale, l’autonomisation financière et la déconcentration structurelle:

à suivre…….



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