4G : 2 clients sur 8 de SFR basculent vers Free

La concurrence est rude en matière de téléphonie mobile. Les principaux bénéficiaires sont les consommateurs qui obtiennent souvent des forfaits avantageux comme téléphoner moins cher ou internet 4G. Free mobile, fournisseur de services téléphoniques français, a misé sur ce dernier pour rafler une partie de la clientèle de son concurrent SFR.

Les retombés de la loi Châtel

La loi Châtel a été promulguée en 2005 et 2008. Elle propose aux abonnés des fournisseurs mobiles la possibilité de résilier leurs contrats avec leurs fournisseurs même. Cela en vue d’un meilleur forfait ou pour changer d’opérateur. Elle inclut qu’à la fin du douzième mois du contrat, il est possible de se désister. En contrepartie, il faut rembourser 25 % de la mensualité perdue par le fournisseur.

Les 47.52 % des clients qui ont choisi la résiliation pour aller vers d’autres opérateurs veulent profiter de cette loi Châtel. Voilà pourquoi le nombre de désistement surtout pour SFR est si élevé. De plus, la plupart de ces personnes (34.27 %) sont sur le point de terminer leur engagement. En fait, ils choisissent de changer d’opérateurs pour des raisons précises comme téléphoner pas cher.

Pourquoi Free mobile ?

La plupart des personnes interrogées (343 personnes) ne savent pas vers quel opérateur se tourner pour le moment. Toutefois, leur décision est déjà prise, celle de rompre avec leurs anciens fournisseurs. Cependant, 173 d’entre eux ont des raisons bien définies. Parmi elles, il y a la volonté de se souscrire en tant que nouveau client auprès de son ancien fournisseur. Le but étant de bénéficier de plus d’avantages, comme téléphoner pas cher au Sénégal.

Pour le reste, ils veulent profiter du lancement de la 4G par Free mobile. En conséquence, SFR perd plus de 16 % de sa clientèle. Avec plus de 1.000 communes couvertes et 700 antennes 4G réparties sur la France, les forfaits illimités de Free mobile sont sans engagement. Ils permettent également des appels illimités vers diverses destinations, notamment pour appeler le Maroc.