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ROME (Italie)

Publié le 27 mai 2014 par Aelezig

Rome est la capitale de l'Italie depuis 1871. Avec 2 638 842 habitants (4 039 813 habitants avec l'agglomération en 2012), elle est la commune la plus peuplée d'Italie.

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Ville berceau de la civilisation occidentale après Athènes, Rome a une histoire qui s'étend sur plus de deux mille cinq cents ans. Elle était le centre de l'Empire romain, qui a dominé l'Europe, l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient pendant plus de cinq cents ans à partir du Ier siècle av. J.C. jusqu'au Ve siècle apr. J.C.. Rome occupe une place capitale dans le christianisme et abrite le siège de l'Église catholique romaine et la Cité du Vatican, un État souverain dont le chef est le pape.

Le centre historique de Rome est dominé par les sept collines : Aventin, Caelius, Capitole, Esquilin, Palatin, Quirinal et Viminal, se situant toutes sur la rive gauche du Tibre qui traverse la ville en direction du Sud et au milieu duquel se trouve l'île Tibérine. Le vieux centre demeure une des cités historiques les plus grandes du monde. Le reste de la ville est divisé en quartiers urbains qui contiennent la majorité des immeubles modernes.

Histoire

Les premières implantations dans la région par des populations italiques indo-européennes, les Latins, remontent à l'âge du fer (-2400 /-800) ; cette arrivée a peut-être été déclenchée par l’arrivée dans leurs régions d'origine de populations illyriennes.

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Le forum

À l’origine, les Latins occupaient seulement une zone très limitée, tandis que dans les environs vivaient de nombreux groupes ethniques, dont le plus influent était celui des Étrusques. Les premiers campements latins s'installent sur le mont Palatin vers le Xe av. JC mais s'étendent rapidement dans les zones voisines, sur l'Esquilin et sur le Quirinal. Le choix initial n'est certainement pas le plus salubre ; la zone est couverte de marais et d’étangs, mais il est cultivable grâce à la grande disponibilité en eau. L'île Tibérine, qui constitue le dernier gué avant l'embouchure du fleuve, est devenue le point d’intersection de deux axes commerciaux importants : l’un, fluvial, reliant la côte à l’intérieur est utilisé pour le commerce du sel qui représente dans l’Antiquité un aliment fondamental pour la vie humaine. L’autre, routier, reliant l’Étrurie aux comptoirs et aux villes grecques de Campanie, sert aux échanges commerciaux entre ces deux populations. Contrôler l'île signifie maîtriser les échanges qui y transitaient et c’est très probablement de là que vient l'importance de Rome à ses débuts.

La fondation de Rome est légendaire ; elle est attribuée à Romulus, descendant d'Enée (fils de la déesse Aphrodite), qui aurait été élevé par une louve, avec son frère Rémus. La tradition populaire généralement veut que la ville ait été fondée par Romulus le 21 avril 753 av. J.C. après avoir tué son frère. 

D'un point de vue scientifique, on admet que Rome est née de l'association des tribus de la région (et de la réunion des villages qui occupaient le sommet des collines) vers le VIIIe siècle av. JC ; il faut y voir une décision stratégique et politique plutôt que la construction d'une cité ex nihilo. Le développement de cette implantation commence sous la domination étrusque. Rapidement, la société se diversifie, la population croît, et la monarchie s'impose.

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Place d'Espagne

 - La monarchie

Romulus sera le premier roi de Rome et six autres monarques lui succéderont, eux aussi probablement d’origine étrusque. L'avant-dernier, Servius Tullius construit la première enceinte fortifiée (les murailles serviennes dont on peut observer quelques vestiges) ; le dernier est Tarquin le Superbe qui, à cause de son comportement arrogant et de son mépris envers les citoyens et les institutions, sera chassé par le peuple en -509.

La déposition du dernier roi de Rome coïncide avec une période de fort déclin des Étrusques : ceux-ci en effet, dans leur expansion vers le sud, arrivent au contact des Grecs. À la suite d'un premier conflit avec les colons commence leur affaiblissement. Les Étrusques laissent cependant une influence durable sur Rome. Les Romains ont appris d'eux à construire des temples, et leur doivent l'introduction du culte d’une triade de dieux (Junon, Minerve et Jupiter) : Uni, Menrva et Tinia. Ils avaient transformé une communauté de bergers en une ville.

- La république

Après le départ de Tarquin et la chute des Etrusques, la République est instituée. Patriciens (aristocrates) et plébéiens (peuple) se partagent (normalement) le pouvoir, au travers d'une assemblée délibérante. Rome commence à émerger comme la ville dominante du Latium, mais en -387 elle est mise à sac par des envahisseurs gaulois conduits par Brennos. Par la suite et durant toute l'époque républicaine, l'état romain reprend l'offensive, mène une longue série de guerres et conquiert des territoires. En -290 plus de la moitié de la péninsule est dominée par Rome. Au IIIe siècle av. J.C. même les cités grecques sont soumises. Les guerres puniques et celle contre Philippe de Macédoine viennent consolider la domination sur l'Italie et Rome entame son expansion en Méditerranée. Les classes dirigeantes s’ouvrent à l'influence de la culture grecque et des œuvres d'art et d'artisanat artistique sont importées en grand nombre de Grèce et des provinces orientales de culture hellénique.

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Musée du Capitole

Les conséquences induites par une expansion aussi importante que soudaine sont cependant énormes. Les guerres continuelles, à l'intérieur et à l'extérieur, favorisent l'esclavage (les "prisonniers" remplacent les hommes partis à la guerre) dans les exploitations agricoles des patriciens , avec des répercussions importantes sur le tissu social. En effet, les petits propriétaires terriens sont rapidement en crise à cause de la concurrence accrue des latifundia esclavagistes (qui produisent pratiquement à coût zéro), ce qui entraîne la concentration des terres cultivables en peu de mains, l'afflux d'une grande quantité de marchandises à bas prix, et engendre la naissance d'un sous-prolétariat urbain : les familles obligées de quitter les campagnes se réfugient en ville, où elles ne trouvent ni travail, ni logement, ni de quoi se nourrir, ce qui provoque de dangereuses tensions sociales habilement exploitées par les politiciens.

Le contact avec une civilisation grecque plus évoluée et l'arrivée dans la ville de très nombreux esclaves helléniques (souvent plus cultivés et instruits que leurs maîtres) suscite chez le peuple romain, en particulier dans la classe dirigeante, des sentiments et des passions ambivalents : d'une part on veut rajeunir, rénover, les coutumes romaines en introduisant des usages et des connaissances en provenance de l'Orient mais cela engendre aussi une « décadence » des valeurs morales traditionnelles. Tout cela provoque une vive résistance de la part des milieux les plus conservateurs de la communauté romaine. Ceux-ci se liguent contre les cultures étrangères entachées selon eux de corruption des coutumes, d'indécence, d'immoralité, de sacrilège envers les rites religieux romains.

Au Ier siècle av. J.-C., la République commence à se fissurer, les personnages les plus influents se font soit les interprètes des besoins des masses défavorisées soit de la nécessité de maintenir le pouvoir aux mains des gens les plus importants et les plus riches, ce qui conduit à la guerre civile. La République doit également affronter une révolte des esclaves menée par Spartacus.

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Monument Victor Emmanuel

- L'empire

Durant cette période de cinq siècles, l'état romain s'est agrandi au point d'englober un territoire allant de la Maurétanie Tingitane (Maroc) jusqu'à la Mésopotamie, et de la Britannie (Angleterre) jusqu'à l'Égypte, créant ainsi l'une des plus grandes entités politiques de l'Histoire, qui influença profondément le monde méditerranéen, sur le plan culturel, linguistique et religieux, tout en assurant la conservation de la civilisation grecque antique reçue en héritage. La période impériale est aussi un temps de développement des échanges économiques, facilité par la construction d'un important réseau routier qui a existé parfois jusqu'à l'époque moderne.

L'Empire est fondé par Auguste en -27 ; il met fin à la dernière guerre civile, de la fin de la République romaine. L'Empire est une autocratie, qui conserve un temps des apparences républicaines : le pouvoir politique est principalement détenu par un seul homme, l'empereur, qui s'appuie sur une bureaucratie sans cesse plus développée, sur une administration territoriale importante et sur un puissant appareil militaire. De la fondation par Auguste jusqu'à la déposition de son dernier empereur, Romulus Augustule, l'Empire a une histoire intérieure et extérieure complexe, caractérisée, au départ, par une certaine stabilité politique — période du principat —, puis, à partir du IIIe siècle, par une instabilité de plus en plus importante — crise du IIIe siècle et dominat. Les coups d'État et les guerres civiles se multiplient, tandis que l'Empire doit affronter de plus en plus d'ennemis à ses frontières.

En effet, à partir de la fin du IIe siècle, Rome est confrontée aux invasions barbares. Il s'agissait de mouvements de populations de très grande ampleur, réalisés sur de longues durées. Les peuples du nord et de l'est, dits « barbares », en se déplaçant vers l'ouest, se heurtent à la frontière romaine, militairement gardée, et, tentent de la percer. Si l'Empire parvient, dans un premier temps, à repousser les envahisseurs, la crise du IIIe siècle voit les frontières céder une première fois. En réaction aux périls extérieurs, le pouvoir romain cherche à se renforcer : les centres de décision politique et militaire sont multipliés, l'administration développée et militarisée, et la taille de l'armée augmentée. Le IVe siècle est l'époque des guerres de succession, et il est dominé par la personnalité de Constantin Ier, qui rénove profondément l'État, en lui donnant ses caractéristiques définitives.

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Le Panthéon

À cette époque, le pouvoir est devenu un régime absolu, avec une cour et un protocole de type oriental. La fin de la proscription du christianisme, sous Constantin, puis son établissement comme religion d'État par Théodose Ier est le fait le plus marquant de la civilisation romaine. Appuyée sur l'appareil administratif romain, extrêmement développé, l'Église acquiert une place prépondérante dans tous les territoires romains, avant d'être chassée, par la conquête musulmane, d'une partie de ceux-ci.

Après la division de l'Empire en deux entités — l'Empire romain d'Orient et l'Empire romain d'Occident, la période finale de la partie occidentale, à partir du Ve siècle, est marquée par le délitement continu de l'autorité politique : la puissance militaire s'effondre, l'économie est exsangue, et la domination territoriale se réduit, jusqu'à ne pas dépasser l'Italie. L'Empire s'est effondré d'une manière progressive, et la déposition, par Odoacre, du dernier empereur, Romulus Augustule, est, au final, un événement mineur, à la portée seulement symbolique.

- Rome byzantine

Odoacre et les Ostrogoths continuent à gouverner l'Italie depuis Ravenne. Entretemps, le Sénat, bien que privé depuis longtemps de ses pouvoirs, continue seul à administrer Rome, et le Pape est généralement issu d'une famille sénatoriale. Cette situation perdure jusqu'à ce que l'Empire romain d'Orient, sous le règne de Justinien Ier prenne la ville en 536, entraînant une série de guerres qui dévastent Rome et les territoires environnants. Narsès arrache une fois pour toutes Rome des mains des Ostrogoths en 552.

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San Giovanni in Laterano

Justinien Ier garantit des subsides à Rome pour entretenir les bâtiments publics, les aqueducs et les ponts. Après les guerres, le Sénat est rétabli sur le papier, mais sous l'autorité d'un préfet et d'autres officiers nommés par les autorités byzantines à Ravenne. Le pouvoir local à Rome est dans les mains du pape, et au cours des décennies suivantes, beaucoup des possessions de l’aristocratie sénatoriale et de l’administration byzantine sont absorbées par l’Église.

Le règne du neveu de Justinien, son successeur, Justin II voit les invasions des Lombards qui s'emparent de plusieurs régions réduisant le pouvoir impérial à de petits territoires essentiellement côtiers, comme Ravenne, Naples et Rome. Maurice Ier (empereur byzantin) donne un nouveau cours au conflit en s'alliant avec Childebert II d'Austrasie. Les armées du roi franc envahissent les territoires des lombards de 584 à 590. Entretemps Rome souffre d'une désastreuse inondation du Tibre en 589, suivie de la peste en 590. Agilulf, le nouveau roi lombard réussit à établir la paix avec Childebert, réorganise ses territoires mais reprend les hostilités contre Naples et Rome à partir de 592.

En 663, Rome reçoit la visite de Constant II, première visite impériale depuis deux siècles. Mais le profond fossé culturel (l'empereur parle grec) ainsi que le peu d'aide concrète apporté font de ce voyage un fiasco. Pendant le demi-siècle qui suit, Rome et la Papauté préférèrent cependant continuer à suivre le gouvernement byzantin, en partie parce que l'alternative est le gouvernement lombard, qu'il refuse, et en partie parce que l'approvisionnement des Romains vient pour l'essentiel de domaines de la Papauté situés dans d'autres régions de l’Empire.

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Pont Saint-Ange

En 727, le pape Grégoire II refuse d'accepter le décret de l’empereur Léon III qui établit l'iconoclasme (rejet des images religieuses). Léon confisque les domaines du pape en Sicile et transfère ses terres au patriarche de Constantinople. En pratique, Rome est expulsée de l'Empire byzantin. Rome devient complètement vulnérable aux poussées des Lombards. En 753, le pape Étienne II demande à Pépin le Bref, roi des Francs d'attaquer les Lombards. Au IXe siècle, le pape Léon IV commande la construction d'un mur tout autour d'une zone depuis la partie opposée au Tibre des sept collines de Rome, qui reçoit le nom de ville léonine.

- La Rome des Papes

Quand Pépin III défait les Lombards en 756, Rome devient la capitale des États pontificaux, une entité territoriale au gouvernée par la Papauté. En pratique, le gouvernement de la ville est disputé par de nombreuses factions de la noblesse romaine, le pape, le Saint-Empire romain germanique et, occasionnellement, des insurrections républicaines. A cette époque, affranchie de Constantinople, Rome devient le centre mondial du Christianisme et joue un rôle politique qui en fait une des villes les plus importantes du vieux continent.

- Renaissance... sous influence espagnole

Au début du XVIe siècle une bonne partie des états italiens sont occupés et entrent dans l'orbite de la France ou de l'Espagne qui luttent pour la domination en Europe. Avec la bataille de Pavie en 1525, gagnée par les castillans, l'abandon des positions françaises permet une hégémonie espagnole sur l'Italie. Qui n'ira pas sans heur : en 1527 et pendant un an, Rome est mise à feu et à sang (Sac de Rome). L'Espagne exerce pendant un siècle et demi, une domination directe sur toute l'Italie méridionale et insulaire, sur le duché de Milan et sur l'État des Présides au sud de la Toscane. Les États pontificaux, comme d'autres, sont obligés de soutenir la politique impériale espagnole. Seules la république de Venise et la république de Gênes réussissent à conserver l'indépendance, ce qui n'est cependant pas suffisant pour les préserver d'une lente mais inexorable décadence. Paradoxalement, c'est à cette époque que naît l'humanisme et, dans les arts, la renaissance qui va influencer toute l'Europe.

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Le Colisée

- Baroque... sous influence autrichienne

En 1713, l'héritage des Habsbourg d'Espagne passe au mains de la branche autrichienne qui s'installe durablement jusqu'au sud de l'Italie. Les dévastations des guerres, la forte pression fiscale se font sentir avec de très graves conséquences. Les vides laissés par la peste de 1630 ont eu des effets dévastateurs sur l'économie. Jusqu'à la fin de la moitié du XVIIe siècle, faim et malnutrition règnent dans beaucoup de régions de la péninsule et dans les deux îles majeures.

Mais au niveau culturel, tout comme du temps de la Renaissance le pays reste le plus novateur d'Europe. L'art et la pensée baroque, élaborés à Rome entre le XVIe siècle et XVIIe siècle ont une force d'attraction et une diffusion internationale non moindre. L'Italie continue à être un pays dynamique, capable d'élaborer une pensée philosophique et scientifique de haut niveau, une peinture sublime (Le Caravage), une architecture unique en Europe (Gianlorenzo Bernini, Borromini, Baldassare Longhena, Pietro da Cortona) et une musique aussi bien instrumentale que théâtrale qui font école.  

Suite à la guerre de Succession d'Autriche, le traité d'Aix-la-Chapelle en 1748 donne à l’Espagne les duchés de Parme, de Plaisance et de Guastalla. L’ouest du Milanais passe de l’Autriche à la maison de Savoie. Les Habsbourg conservent le Milanais et la Toscane. Gênes, Venise, les États pontificaux et le Piémont-Sardaigne sont les seules puissances indépendantes d’Italie.

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Fontaine Trevi

- Rome et la réunification de l'Italie

À la fin du XVIIIe et au XIXe siècle, les mouvements révolutionnaires qui caractérisent cette époque touchent Rome. Le gouvernement des papes est interrompu par la courte existence de la République romaine (1798). L'organisation politique est inspirée du modèle de la Révolution française. La ville de Rome est également le chef-lieu du département de Rome durant l'Empire français, de 1809 à 1814.

Une autre République romaine surgit en 1849, dans le courant des révolutions de 1848. Deux des plus influentes figures de l’unification italienne, Giuseppe Mazzini et Giuseppe Garibaldi combattent pour l'éphémère république.

Le pape s’opposa au processus d’unification de l’Italie qui projette la réunification de toute la péninsule sous le contrôle des Savoie. Le retour du pape Pie IX à Rome, avec l'aide des troupes françaises, exclut Rome du processus d’unification, ce qui entraînera la deuxième guerre d'indépendance italienne et l’expédition des Mille, à la suite de laquelle toute la péninsule italienne, excepté Rome et Venise, est réunifiée sous le règne des Savoie. En 1870, l'armée italienne entre dans Rome le 20 septembre. Rome et le Latium sont annexés au royaume d'Italie.

À l'origine, le gouvernement italien avait offert à Pie IX de conserver la Ville léonine, mais le pape refuse l'offre parce qu'y souscrire aurait signifié accepter la souveraineté de l’Italie sur son domaine. Pie IX se déclare prisonnier au Vatican, même si en réalité il n'est pas empêché d’entrer ni de sortir. La capitale du royaume est officiellement transférée de Florence à Rome seulement en 1871.

En trente ans, jusqu’en 1900, la population double, ainsi que la ville bâtie et Rome entre dans la civilisation moderne.

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Place Navona

- La Rome moderne

La Rome d’aujourd’hui reflète les stratifications des époques de sa longue histoire, mais c'est aussi une grande métropole moderne. Le vaste centre historique contient de nombreux vestiges de la Rome antique, quelques vestiges de l'époque médiévale, de nombreux trésors artistiques de la Renaissance, nombre d’églises et de palais baroques, avec beaucoup d'exemples de l’Art nouveau, du néoclassicisme, du modernisme, du rationalisme et d’autres styles artistiques des XIXe et XXe siècle ; la ville peut être considérée comme une sorte d’encyclopédie vivante de 3000 ans d’art occidental.

Beaucoup de monuments de Rome ont été restructurés par l’État italien et par le Vatican à l'occasion du Jubilé de 2000.

Aujourd’hui, Rome est l’une des plus importantes destinations touristiques du monde, grâce à son immense patrimoine archéologique et à ses trésors artistiques, mais aussi pour ses traditions uniques et la beauté de ses vues et de ses villas. Rome est l'unique ville au monde qui contienne un état (le Vatican) dans ses limites communales.

Visitée en 2007

D'après Wikipédia


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