Tout un tas d'industries ringardes, liquidées par l'innovation, en théorie, se portent magnifiquement. C'est le cas des montres, des stylos, des voiliers, de la fabrication "high cost" de certains vêtements ou de livres... Voilà ce qu'observe The Economist. Il s'en émerveille.
Ce phénomène me semble avoir une interprétation curieuse. Tout se passe comme si l’innovation avait pour effet de prendre au pauvre pour
donner au riche. D'où la question : et si c'était son réel moteur (ou un de ses moteurs ?), créer la pauvreté par la technique du miroir aux alouettes ?